La démocratie en Iran

L’Iran éternel
Ô, mon pays, mon cher pays,
À l’heure du partage du monde,
Convoité par des puissants,
Malmené par des robes longues,
La richesse de ton peuple attire les pires serpents de l’enfer.
Épuisé par tant de manœuvres,
Le cœur chaviré, je détourne mon regard.
J’observe le sort de tes voisins, Irakiens et Afghans.
Au nom de Dieu ou de la liberté des hommes,
Ces envahisseurs ne font qu’un aux yeux du peuple.
Ô, mon pays, mon cher pays !
Encore et toujours debout (…)

Pour toi
Au château des lumières,
Le cœur rempli de souvenirs heureux,
Je mémorise tes souvenirs à chaque instant.
Plus cher que n’importe quel grand amour,
Plus près que ma peau, que mon sang,
Pour toi,
Je quitterai le château,
Je me jetterai à l’eau,
Je traverserai les cités en plein tourment,
J’irai à l’autre bout du monde,
Je me ferai toute petite,
Prête à passer devant des soldats armés jusqu’aux dents.
Pour toi, je nierai les évidences,
J’oublierai mon nom, (…)

Rêve d’une femme
La nuit venue, une mère ne murmure pas la douce berceuse à sa fille.
De sa voix profonde, elle lui raconte un rêve,
Un rêve qu’elle cultive du matin au soir au fond de son cœur.
Elle dit :
« Un jour, lorsque tu seras grande et belle,
Comme un arbre au premier matin du printemps,
Épanouie par le bonheur,
Peut-être avec un enfant dans les bras,
Je viendrai pour te voir, mais avant,
Tant que tu auras l’âge d’aller à l’école,
Je t’achèterai une belle robe, (…)

D’accord, j’ai retenu la leçon !
Les cris de révolte sortant de ma bouche,
Ce n’est pas moi, je vous le jure.
Ils s’échappent de ma gorge malgré moi,
N’essayez plus de me faire peur, je suis déjà morte.
-- -
Si vous me donnez une nouvelle chance,
Promis, je serai sage,
Je mesurerai mes paroles,
Je recommencerai l’école,
-- -
J’apprendrai les mathématiques,
Mais pitié, ne m’imposez pas l’histoire pleine de mensonges.
À la récréation, je sauterai à la corde,
Je rirai (…)

D’accord, j’ai retenu la leçon !
Les cris de révolte sortant de ma bouche,
Ce n’est pas moi, je vous le jure.
Ils s’échappent de ma gorge malgré moi,
N’essayez plus de me faire peur, je suis déjà morte.
--
Si vous me donnez une nouvelle chance,
Promis, je serai sage,
Je mesurerai mes paroles,
Je recommencerai l’école.
--
J’apprendrai les mathématiques,
Mais pitié, ne m’imposez pas l’histoire pleine de mensonges.
À la récréation, je sauterai à la corde,
Je rirai (…)

A l’Iran
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Ce soir, la terre tremble sous les pieds des milices novices.
Ce soir, les habitants sentent le sol bouger à un rythme rapide.
Ce soir, tous lèvent la tête, l’enfer piétine leurs iris.
Ce soir, le ciel perse est bien sombre, il vibre entre le noir et le gris non limpide.
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Ce soir, des éclairs viennent raviver le ciel de perse.
Ce soir, les branches de ces arbres éphémères se perdent et virevoltent sans raison,
Ce soir, sans qu’on eût cru qu’ils aient existé. (…)

LA LÉGENDE D’IRAN - (2) De père en fils, une légende s’inscrivit dans le cœur d’une nation. Sept
hommes et femmes se levèrent pour veiller sur la terre perse. Guerriers
ou poètes, ils se battirent contre les forces du Mal.
L’un d’entre eux s’appelait Kian. Avant de livrer bataille, il se rendit au
sommet de la montagne Zagros, et ce fut le vent qui apporta sa pensée
à son messager, l’invitant à le rejoindre.
Le temple sacré du feu (…)

Eléments originaires du site CLIO
C’est à travers la révolution islamique de 1979 et à travers la crise ouverte par les ambitions nucléaires du gouvernement de Téhéran que les Occidentaux appréhendent aujourd’hui le plus souvent la réalité iranienne. La confusion établie entre l’islamisme chi’ite tel qu’il se manifeste en Iran et le « terrorisme international » entretenu par les mouvances wahhabite ou salafiste propres au monde sunnite, contribue à brouiller les pistes. Il en va de même (…)

La répression en Iran.

Le gouvernement Islamique continue le massacre !

La glorieuse Perse
Ô mon cher pays,
La glorieuse Perse,
Le berceau de grands hommes et de grands rois.
Ô mon doux, sublime et merveilleux pays !
La terre de centaines de nations...
Pays aux déserts brûlants, aux forêts étendues et aux montagnes
blanchies par la neige,
Je te chante.
Je te rends grâce.
Ô mon cher pays,
La terre de mes ancêtres,
Peuplée de souvenirs d’une vie joyeuse,
À présent offensée par un grand tourment,
Ma patrie, ma douce colombe blessée en (…)