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ALGERIE, Avant de rencontrer mon mari, je n’avais jamais pensé venir en France. C’est le destin qui a choisi…
FATIMA
dimanche 20 janvier 2008, par
texte Frederic Praud
Une enfance gâchée par la guerre
Je suis née le 16 août 1948 à Constantine, en Algérie. C’est une ville magnifique et très touristique. On y trouve de nombreux monuments à visiter, notamment des vestiges romains, comme à Timgad. J’ai vécu tout près d’où habitait, dans le temps, Enrico Macias. Notre maison était à droite de la sienne. Je le voyais régulièrement ! Il s’en allait toujours au travail en chantant. Il chantait tout le temps !
Nous vivions dans un vieux quartier avec de vieilles maisons à trois étages, composées de plusieurs pièces et surmontées d’une terrasse. Au milieu, il y avait une grande cour et a l’intérieur, nous disposions de toutes les commodités, comme par exemple l’eau courante. Là-bas, tout le monde était mélangé : Juifs, Arabes, Français et ça se passait très bien…
Je ne suis pas allée à l’école très longtemps car l’OAS y mettait des bombes et ma mère a arrêté ma scolarité… Je n’ai donc pas fait d’études… J’ai connu une enfance pas terrible à cause de la guerre. J’en garde de mauvais souvenirs… Lorsque je sortais faire les courses pour maman, je trouvais un mort par-ci et un autre par là !
Adolescents, nous rêvions à notre pays qui allait être libre et on ne l’a pas regretté. On vivait comme ici, à l’européenne, et il n’y avait pas de problème. Je ne parle pas des montagnes ou des petites villes ! Je parle de Constantine où je suis née, où j’ai vécu… Á l’âge de douze treize ans, j’aspirais à étudier à l’école, à avoir une vie meilleure. Seulement, je ne pouvais pas y aller !
L’Algérie indépendante : la liberté retrouvée
Avant 62, notre quotidien était vraiment mort, mort, mort… On ne pouvait rien faire ! C’était la guerre et les parents avaient peur que l’on sorte.
Après, les choses se sont quand même améliorées. On a recommencé à aller à l’école mais à quatorze ans, c’était tard ! J’y ai appris la couture, la broderie, etc. D’ailleurs, quand j’ai grandi, vers dix-sept ans, je me suis lancée dans cette activité. Je gagnais bien ma vie ! J’avais mon argent et je le dépensais en allant au cinéma, ou en m’achetant des vêtements. On était libre ! Ensuite, je me suis orientée vers la coiffure. Je n’avais pas de diplôme mais c’était pratique. Je suis restée gérante pendant vingt ans.
De quatorze à dix-sept ans, je pouvais sortir sans problème ! Parler avec un garçon n’était pas interdit ! J’avais le droit d’aller chez une copine, d’aller au cinéma, etc. Avant, c’était différent parce que c’était la guerre ! On ne pouvait pas bouger et c’était pour tout le monde pareil ! Y compris les grandes personnes…Par contre, je ne sortais pas la nuit ! Il n’en était pas question !
Arrivée en France : des premiers temps difficiles
Je suis arrivée en France le 17 janvier 1979, à l’âge de vingt-neuf ans, mais je n’ai pas continué la coiffure. J’ai eu mes enfants et je suis restée mère au foyer. Je me suis mariée en Algérie avec quelqu’un qui habitait en France et je suis partie avec lui tout de suite. Voilà ce qui m’a amenée ici… Aujourd’hui, mon mari est décédé. Il vivait en France depuis l’âge de quinze ans et demi. Il y avait fait ses études, son service militaire, etc. Il avait la nationalité française. Moi, j’avais la nationalité algérienne en arrivant mais depuis, j’ai obtenu la nationalité française.
Avant de rencontrer mon mari, je n’avais jamais pensé venir en France. C’est le destin qui a choisi… Lorsque je suis arrivée, je pleurais jour et nuit pour rentrer chez moi ! C’était l’hiver et il faisait froid, il y avait du verglas, une lumière sombre, des murs noirs alors que le 17 janvier, j’avais laissé en Algérie un très beau soleil. La preuve, j’étais venue en tailleur… Je tremblais à l’aéroport d’Orly ! « Mon Dieu ! Qu’est-ce que c’est que cette France ? Qu’est-ce que c’est que ça ? J’ai laissé un très beau pays, fleuri, ensoleillé, lumineux, aux murs blancs…Mais qu’est-ce que je viens faire ici ! » J’étais désespérée ! Alors, j’ai dit à mon mari : « Je veux rentrer ! Je divorce ! Je m’en fous ! » Mais bon après, je suis tombée enceinte, j’ai eu ma fille, j’ai commencé à m’adapter, je me suis fait des amies.
Je ne suis pas arrivée directement à Sarcelles. J’ai d’abord habité cinq mois à Clichy, à côté de Saint-Ouen, dans un studio minuscule. En écartant les deux bras, je touchais les deux murs. Je n’étais pas habituée à si peu d’espace ! C’est ici que vivait mon mari. Il était célibataire, il était seul et pour lui, un studio, c’était déjà beaucoup.
Dans la vie quotidienne, je n’ai pas senti de réelle différence avec Constantine. Pour moi, c’était pareil. Déjà, je n’ai pas eu de difficultés au niveau de la langue, même si je n’avais pas fait d’études. Et puis, je me suis rapidement fait des amis français, juifs de Constantine, algériens, tunisiens, marocains… Je me suis bien adaptée !
Installation à Sarcelles
Nous sommes venus à Sarcelles car nous avons bénéficié d’un logement un pour cent patronal. On nous a d’abord proposé le XX ème, puis la Seine-Saint-Denis, mais ça ne me convenait pas. Par contre, Sarcelles m’a beaucoup plu. Quand je suis venue visiter, je me suis tout de suite dit : « C’est ici que je veux m’installer. » Ça me rappelait chez moi. Nous étions au mois de juin et il y avait du soleil, c’était fleuri. D’autre part, c’était grand et il y avait des bâtiments blancs comme à Constantine. Bref, c’était gai. C’est donc ici que j’ai accepté d’habiter jusqu’à maintenant…
C’était une ville magnifique ! C’était très fleuri, très propre, les jeunes étaient serviables. Par exemple, quand je revenais chargée du marché, il y avait toujours des enfants devant la porte qui me donnaient un coup de main pour monter mes courses jusqu’à l’ascenseur (cela n’a d’ailleurs pas changé). Le jour où nous avons emménagé, ce sont les enfants des voisins qui nous ont aidés. Je n’ai jamais eu de problème avec les jeunes du quartier ou d’ailleurs !
Garder un pied en Algérie
Je vis toujours dans le même appartement, je m’y sens bien… Depuis que je suis à Sarcelles, je n’ai jamais eu l’intention de retourner définitivement en Algérie. Mes enfants sont nés ici, ils y ont étudié, c’est leur pays. C’est ici qu’est leur vie ! Ils n’ont pas connu l’Algérie comme je l’ai connue moi ! Je ne me vois donc pas retourner là-bas toute seule… Je reste ici avec mes enfants…
J’ai tenu à ce qu’ils aient la double nationalité. Ils ont à la fois un passeport algérien et un passeport français. Lorsqu’ils étaient jeunes, je les emmenais souvent là-bas. Comme je ne travaillais pas avant, nous y allions trois fois par an. D’ailleurs, j’y ai acheté un appartement.
Par contre ici, je ne suis pas propriétaire de mon logement. Je n’en ai pas les moyens… Si je gagne un jour au loto, on verra !
Le marché
Quand je suis arrivée, j’allais souvent au marché mais il n’était pas comme aujourd’hui. Il était quatre fois plus petit et il n’y avait pas beaucoup de monde alors que maintenant, on ne peut pas traverser ! Surtout le dimanche. En tout cas, les marchands sont contents parce qu’ils travaillent mieux le dimanche ! Ce jour-là, ce ne sont pas des Sarcellois qui fréquentent le marché. Ce sont des gens qui viennent d’ailleurs. Il faut dire qu’il a bonne réputation, et qu’on y trouve de tout pour pas cher ! Je pense que les premières années, on pouvait le comparer avec celui que j’ai connu à Constantine. C’était à peu près pareil, mais moins maintenant…
Au début, on ne trouvait pas les produits de chez nous. Par exemple, il n’y avait pas de boucherie musulmane ! Ce n’était pas la peine de chercher un morceau de viande hallal ! Alors qu’aujourd’hui, on trouve de tout ! Cela m’a beaucoup manqué en arrivant de ne pas pouvoir consommer nos produits… Même les fruits et les légumes n’ont pas le même goût qu’en Algérie… Là-bas, ils prennent beaucoup de soleil ! Et puis, il y a une saison pour chaque fruit. Par exemple, on ne trouve pas comme ici des fraises toute l’année.
Vie quotidienne d’une mère de famille
Pendant mes cinq premières années ici, je n’ai pas travaillé. Je suis restée à la maison pour garder mes enfants. Je sortais pour faire mon marché et me promener comme tout le monde. Parfois, mon mari allait à Barbès pour trouver de la viande hallal.
En ce qui concerne mes amies, j’ai d’abord rencontré une Tunisienne, originaire de Djerba. Elle a été ma première connaissance. Et après, quand je suis arrivée ici, j‘avais une Portugaise en face de chez moi, une Kabyle qui habitait au sixième étage, on parlait du pays. C’était un mélange ethnique et de cultures ! Tout s’est très bien passé… Je me suis adaptée à tout le monde : Français, Juifs, Arabes. Á Koenig, il y avait beaucoup de Juifs de Constantine ! Et quand je parlais, rien qu’à l’accent, ils savaient que j’étais constantinoise. D’ailleurs moi aussi ! Quand une juive me parlait, je savais immédiatement qu’elle venait de Constantine. J’y ai retrouvé des amies de ma mère qui étaient dans la même classe que la sienne.
Les premières familles que j’ai côtoyées à Sarcelles étaient donc d’origine constantinoise. Ensuite, j’ai fait connaissance avec ma voisine portugaise qui était adorable comme tout. Le jour où j’ai emménagé, elle est venue voir si j’avais besoin de quelque chose. J’avais beaucoup apprécié car chez nous aussi, cela se fait. Je n’étais pas dépaysée de ce côté là.
On sortait nos enfants ensemble. Ils jouaient dans le bac à sable pendant que nous discutions. On s’échangeait des recettes de cuisine, etc. Puis, quand j’ai commencé à travailler, j’ai rencontré toutes les nationalités qui existent dans le monde…
En 85, j’ai trouvé un emploi à la clinique de Sarcelles et j’y suis depuis vingt-deux ans. Je ne suis pas encore à la retraite. Je n’ai pas rencontré de difficultés pour obtenir du travail, j’ai trouvé facilement. J’ai dû changer de domaine car ici, dans la coiffure, il faut un diplôme pour ouvrir un salon ! En Algérie, j’étais gérante et ce n’était pas obligatoire !
Message
Il faut garder Sarcelles comme c’était avant et continuer à vivre dans le respect mutuel. N’oublions pas que le point fort c’est le mélange ethnique.
récit collecté par :
Voir en ligne : La Bande Dessinée : Les Migrants
Messages
1. ALGERIE, Avant de rencontrer mon mari, je n’avais jamais pensé venir en France. C’est le destin qui a choisi…, 27 janvier 2008, 11:58, par dordora
le mariage et une loterie,j’avais le mauvais numeros
d’avoir,connu et aimer un constantinois,connu et vecu l’enfer,qui etait un monstre,le diable
Ma famille et installer a Constantine depuis 1900,a ce jours,moi étant née en France fille d’émigres,lui sa mère et sœur de lait avec mon père et cousin,sont père ma mère cousins grand parent étant des frère des deux cotes,c’est pour cela que j’ai vécu l’enfer,avec lui,il et tout sauf humain,pas de cœur,pas de sentiment,c’est ni de la sorcellerie ou le diable car les arabes trouvent cela comme excuses,il et mauvais.
Avec ses yeux couleur du temps,et sont sourire de tant en tant,il avait un regard effrayant. constantinois,fonctionnaire,qui fessait semblant de pratiquer la religion comme tout sa famille,dictateur,un monstre,lui et les siens. été soumise sans condition,mon traiter moins que une esclave,frapper a coup de savate nylon,coup de poing,pied,et ceinture,mon corps marquer de coup en permanence,laisser sans manger,ni boire,me prenait mes affaires personnel les vendaient ou donnait a sa famille,maîtresse en 1998 prenait une seconde épouse avec qui il a commis l’adultère tout deux marier,lui trois enfants,elle deux surpris par le mari dans sa chambre,divorce jette ses enfants et épouse mon ex mari,surpris encore dans notre salon avec une femme marier,la je suis divorcer en 2006 de ce monstre,a tourner le dos a sa religion,ses enfants,et vit avec une française qui pourrait être sa fille,na aucun principe,aucun honneur,aucune fierté,surtout pas de cœur,qui et tout sauf un homme.
Lui et ses frères,sœurs,et surtout sa mère qui accepte tout les filles que ses enfants amènent tant que y a du profit derrière si j’avais pas connu et pratiquer la religion et lu le Coran en Français avant de connaître lui et sa famille j’aurais jamais été musulmane ils salissent la religion et se cachent derrière que Dieu,les maudissent et les frappes de toute sa colère In-Challah,21 an j’ai souffert,ma fait perdre deux grossesses avec ses coup en complicité des siens j’espère que il répondront de ses crimes,mon priver de boire un verre de lait au déjeuner ou être encore frapper,opérer de césarienne mon laisser sans manger ou boire a l’hôpital ou chez eux avec mon argent que mes parents m’envoyaient,et de ma couture,ils en profitaient et moi c’est un monsieur qui venait voir sa femme,me donnait tisane,eau, nourriture .j’ai vécu l’enfer. tout les matin un sceau dans chaque main de 10l,porter du rez de chausser au premier étage traverser le couloir,et verser dans des baril plus de 1000l,seul ses sœurs,belle sœurs dormant laver la vaisselle préparer le plateau de déjeuner moi je n’avait plus le droit de déjeuner,mon courrier de France on lui remettais lisait et détruisait,séquestrer voiler de force,6h du matin sous la pluie,neige,froid,avec des petites savates nylon,un jour j’ai mis ses bottes sa mère ma dit des que il va se lever je vais lui dire et a sont réveille ma frapper a me laisser au sol ,je lavais mon linge sous la pluie ou la neige,elle dans la cuisine ,moi non,je suis malade ayant une petite fissure au cervicaux de ses coups,Constantine et une belle ville mais j’ai vécu l’enfer,avec mes enfants,lui sa deuxième femme m ’avait présenter comme la femme de sont frère décéder,sont fils ainer devait l’appeler par son prénom et pas papa,la il s’occupe de sa copine sa famille ses enfants que il na pas voulu il les ignores,tout façon cet pas un exemple il et la honte des algériens arriver a 43 an en France va avoir 49 an et a rien compris,traite,menteur vivant que du pêcher avec sa famille,alcool,drogue,adultère,car y a pire j’écris un livre,car la verite doit se s’avoir et faut dénoncer cela,partie vivre en 1985/2001,ou a chaque prière je demandait a Dieu de mourir pour être libérer de cet enfer. Divorcer en 2006,menacer de mort a plusieurs reprise,il a profiter de moi et surtout de ses enfants sais fait entretenir,acheter une megane,ou des que un de ses enfants ou moi montaient dedans on payaient l’essence pour aller faire nos passeport,au consulat essence,repas et payer le timbre de sont passeport,pour nous amener a l’aéroport 50€ d’essence,sont salaire il était que pour lui ses sorties,maîtresses,algérien,algériennes,d’Algérie,frères,sœurs musulman dit moi ce que vous penser sur ce que lui a fait avec sa famille eux qui parle de religion,en ayant le mensonge profit qui coule dans leurs veine.La sa mère frères,sœurs,beaux-frères,belle-sœur attendent l’été pour connaître sa copine qui va amener et présenter,qui veulent prendre une petite maison que mes parents on financer qui appartient a mes enfants,déjà il a donner a sa famille nos affaires personnel,et se sont servie,vider,lui qui allait a Chentli a Bardot ou il a grandit faire la prière,qu’elle prière pour donner une image de lui,car ayant commis l’adultère en permanence deux fois avec des femmes marier,et des célibataires allant boire le soir a l’hôtel cirta,consommant et fumant de la drogue acheter chez sont cousin revendeur très connu dans ce milieu,pour lui donner une bonne image de lui c’est très important,malgré que la vérité et cacher,a dit devant ses trois enfants que si ils sont malade ou un accident ou meurt je dois pas l’appeler ou le déranger,après l’avoir appeler sur sont portable trois fois étant toute la nuit au urgence sont fils ainer sous perfusion,lui a Annecy avec sa maîtresse,pour amener ses deux fils au coiffeur, leur dit amener l’argent de votre mere,il ne vient en rien a leurs éducation,besoin,et sa famille me dit travail débrouille toi,c’est pas a lui,ses enfants le haie,et j’espère que un jour justice soit faite. Il et un beau parleur,et dupe tout le monde a part cela il et rien,en 21 an je suis tomber enceinte cinq fois,a tout fait pour les faire tomber,trois on survécu,comme il dit tu les as faits assume,moi je m’en fou,c’est pas mes enfants. aucune vie de couple,j’étais l’esclave,travaillant,souvent a dormir sur le sol,frapper d’une extrême violence,et en 1998 a dit je me suis marier pour gagner un parie que j’avais fait,t’enlever ta liberté,tes jeans,te rendre esclave et te soumettre,pour que les coup s’arrete je devais répéter que c’est pour mon bien que je l’avais bien mériter moi ayant trois grand frères,jamais été frapper,la j’ai connu. et ensuite tous au salon mangeaient passaient la soirée a rire moi,ne cessant de pleurer,douleur sous ses menaces je suis rester a souffrir en implorant l’aide de Dieu. un plan diabolique avec sa deuxième épouse et va en France tu divorce et me fait venir,il calcul tout et manipule tout le monde c’est le diable en personne. le pire car ça c’est que un grain de sable ce que j’ai raconter y a pire et très grave,mon regret c’est d’avoir été marier a cet homme qui en était pas un et ne sera jamais comme tout ses frères,venant d’une famille,de profiteur,menteur,de vaut rien,qui avait rien,on eut malhonnêtement.
Lui qui dit avec les siens que ce que il a fait et fait et dans le Coran,qui et écris en Arabe,que si je s’avais le lire,j’accepterais,je pratique va a la mosquée. lit le Coran traduit. constantinois et constantinoise donner votre avis sur ce récit qui et réel mais que un grain de sable car y a plus grave,croyez moi j’ai connu la faim,la soif,les coups,la souffrance physique et moral en 1985/2001,sur lui et sa famille qui se cache derrière la religion,vivant tous dans le pêcher, mais discrètement .espère publier mon livre très vite,que il sortent en telefim,car il faut que on sache que sa existe,ce mal.
Lui qui avec des paroles trompe sont monde,qui na pas fait de bien dans ses enfants,qui a souhaiter ma mort,mainte fois,qui a ce jour a mon inssu a pris une assurance deces,pour moi et ses enfants,dont je vien de faire annuler,mettre de l’argent sur un compte,ou les vetirs pour les fetes du Laid,leur faire le moutin,offrir des vacances,non ce que il attend cet notre deces,ça c’est etre pere,ou musulman.je galere un peu pour arriver a subvenir a leur besoin,mais fait de mon mieux,j’ai monter un projet et eu l’accord pour ouvrir un salon de the oriental,plat a emporter,je fais les démarches pour trouver le finencement In-Challah,je vais travaillier.
J’ai vecu une mauvaise expériencece qui fait le plus mal et la réponse a ma question pourquoi tu na cesser de frapper ?pour rien,montrer a sa famille que il etait le maitre et moi sont esclave.
Moi je demande a Dieu que au moment de rendre leurs ames que je suis morte ou vivante d’etre debout quand il vont shahader,In-Challah,car celui qui ma toucher avec mes enfants jamais je le pardonnerais dans la vie ou dans la mort.
Beau parleur comme un rosignol chante,change comme un cameleon,un monstre.
Le diable en personne,qui et très fier,sans honte,sans remord,quoi attendre d’une personne qui a fait du mal,et abandonner ses enfants de sa chair et sont sang de sont nom,rien.
J’espere que j’aurais des commentaires,sur se sujet,mais j’aime l Algerie ou j‘ai ma famille,amie,et espère que aucune femme souffre comme j‘ai souffert.Dieu nous a crées pour vivre dans le respect,et non pour etre soumises et mal traiter.
Qu’elle exemple a-t-il été ?ainsi que sa famille qui prie parle de religion,quand tout et baser sur le pecher et la malhonneter,l’habit ne fait pas le moine,lui s’habille en croyant que ça va cacher a qu’elle point il et mauvais et de mauvaise foi.
dordora@live.fr
1. ALGERIE, Avant de rencontrer mon mari, je n’avais jamais pensé venir en France. C’est le destin qui a choisi…, 4 février 2010, 23:30, par laila
bonsoir j’ai etait trés touche par ton histoire pourquoi ta pas chercher refuge aupres de ta famille et ta famille n’avait rien remarquer franchement je n’aurait pas tenu plus d’un jour dans ta situation mais tu sais ce qui me met en colere il y’a des gens qui font leur religion eux meme tous ce qu’ils disent ou font est marquer dans le coran alors que rien de ce qu’il disent ou font n’est marquer nul part car dans le coran il parle de beaucoup de respet vert les epouses le prophete mohamed sw traiter ses epouses avec le plus grand respet qu’aucun homme n’ateindra je sait qu’on peut pas changer le passée mais le present et l’avenir on peut et garde tjr l’espoir pour toi tes enfants un grand courage et que dieu vous protege pour tjr.
ps vous pourier me tenir au couran pour votre livre.
2. ALGERIE, Avant de rencontrer mon mari, je n’avais jamais pensé venir en France. C’est le destin qui a choisi…, 28 novembre 2008, 14:49, par Affreville
A mon avis vos souvenirs ne sont pas exacts.Née en 1948, habitant une grande ville, vous avez dû commencer à aller en maternelle à partir de 1952/1953 cours préparatoire 1954...et en 1961 année de création de l’OAS vous aviez 13 ans...