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par Amadou Diaw

Tontougonégi Dou Froh

comment j’ai été trahi... par le Sénégal

lundi 28 juin 2010, par Frederic Praud

OUI J’AI ETE TRAHI, ABDOULAYE WADE LE PRESIDENT ADORE DE TOUS LES SENEGALAIS NE DEVAIT PAS ETRE CITE DANS LA PLAINTE DU MLA

La plainte du MLA contre Abdoulaye WADE a été justifiée sur la base d’un document publié sur le site SENEWEB intitulé : « La Vérité sur le Patrimoine de Abdoulaye WADE » contenant ses biens immobiliers et comptes bancaires partout dans le monde et surtout en France. On y croit ou on n’y croit pas et dans ce dernier cas le site ne doit plus être consulté, le site doit être fermé et poursuivi en justice pour diffusion de fausses nouvelles. Mais comme étant naïf j’étais le seul à croire que c’était vrai. Les sénégalais ( ces composites de la création, singularisés par le paradoxe, l’énigme, l’équation à plusieurs inconnues) m’ont laissé croire que c’était vrai et avaient même tenu à m’ encourager et à me féliciter. Abdoulaye WADE a déclaré qu’il est blanc comme neige, qu’il ne possède qu’un seul studio à Paris acquis avant l’alternance. Du coup étant donné que tous les Sénégalais l’ont cru et m’ont abandonné seul en refusant d’aider le MLA à honorer le montant de la consignation fixée par le Doyen des Juges d’Instruction, je me dois bien de lui présenter toutes mes excuses.

Oui j’ai été trompé, trahi par les Sénégalais mais ils se trompent eux-mêmes, ils n’ont qu’à s’en prendre à eux-mêmes car Dieu dit dans son Saint Coran : « In Allaha La Yu Hayru Ma Bi Kawmine Hatta Yuhayro Ma Bi Anefussihoume = Dieu ne Change Rien en un Peuple Tant qu’ils n’ont Rien Changé en Eux-mêmes » Sourate 13 Verset 11.
En clair les peuples n’ont pour dirigeant que leur semblable.
Je m’excuse auprès des membres et sympathisants du MLA, des lecteurs Africains en général qui sont de religions diverses car là je parle spécialement à des Sénégalais musulmans en majorité, je m’adresse à eux spécialement par le mode d’expression qu’ils sont censés.
En effet j’ai pu constater que les Sénégalais étaient foncièrement contre cette plainte qui vise non seulement leur cher Président adoré et son fils mais également leurs très proches parents notamment ces autres personnalités politiques comme les deux ex-Premiers Ministres du PDS, les Responsables Politiques du Parti Socialiste, certains Dignitaires des Régimes Socialiste et PDS.

Je viens de découvrir que ce Abdoulaye WADE serait même meilleur que ces gens là car j’attends et j’attendrais toujours une explication face à la plainte du MLA qu’ils ont fait capoter en refusant d’honorer la consignation de 1000 euros fixée par le Doyen des Juges d’Instruction du Tribunal de Grande Instance de Paris pour la Recevabilité de la plainte du MLA. Surtout quand on sait que la Diaspora Sénégalaise transfère annuellement au pays 500 à 600 Milliards de francs CFA alors que les 1000 euros ne représentent même pas Un Million de francs CFA. Le Doyen des Juges était sur le point d’aider le Sénégal dans la transparence de ses finances publiques comme cela s’est passé avec les BONGO, NGUEMA et NGUESSOU avec lesquels il a découvert, par le biais de l’enquête confiée au Pôle Financier, et évalué à 160 Millions d’euros leurs biens immobiliers et comptes bancaires acquis sur fonds publics détournés. Là où je me suis trompé est que le Président WADE affirme ne pas détenir aucune maison ou aucun compte bancaire en France appuyé en cela par les sénégalais c’est pourquoi ils n’ont pas voulu m’aider à payer la consigne des 1000 euros
Le MLA créé officiellement le 30 Mai 2005, donc en six mois d’exercice seulement a dépensé, pour les frais de sa constitution et son fonctionnement jusqu’à l’introduction de la plainte au mois de novembre 2009, 1750 euros dont plus de la moitié par mes propres économies pour quelqu’un n’ayant pas encore reçu ses papiers par conséquent ne disposant donc d’aucune ressource financière. Si j’ai tenu à agir de la sorte c’est que depuis que j’ai quitté le Sénégal il ne se passe pas de jour où je ne pense à la situation de catastrophe humanitaire qui sévit dans ce pays, pour la majorité de ces populations qui n’ont pas quelqu’un de l’extérieur pour les aider à s’en sortir.

Vous m’avez abandonné dans le feu de l’action mais Dieu ne m’a jamais abandonné et ne m’abandonnera pas. Pour la confirmation je vous renvoie à la Sourate DOUHA (Wa Douhé Wa Layli Iza Sadia, Ma Wadaka Rabouka Wa Ma Kala …..)
Oui j’attends et j’attendrais toujours une explication mais heureusement pour amortir et amoindrir le choc, le piège, la trahison découlant d’un cynisme, d’une méchanceté, d’une jalousie, d’un égoïsme, j’avais bien fait de prêter bonne oreille à ce Sénégalais clairvoyant qui m’avait confié : « Tu vas voir Diaw, les Sénégalais sont des hypocrites, des traîtres, ils ont peur des représailles de Abdoulaye WADE, ils vont t’abandonner seul dans ce combat, ils ne te soutiennent que par la Gueule non sans avoir essayé à récupérer ton combat sur le plateau offert à la fin ( j’attends en retour cette excuse présentée à ce sénégalais qui m’avait fait cette remarque sur ce ton dur d’après lui de cette lettre balancée dans le WEB et que j’avais par la suite confondu à cet autre sénégalais de l’Assemblée des Sénégalais de l’Extérieur ASE créée en France récemment qui avait fait faux bond après avoir promis d’honorer la consignation ; ce sénégalais de l’ASE dont la bizarrerie dans le comportement et la méthode d’approche faisaient que je lui lançai : monsieur de quel bord tu roules ; j’espère bien que ces excuses ne vont pas tarder surtout pour quelqu’un qui se dit Talibé Mouride à son grand-frère) ». Il avait bien raison, mon ami clairvoyant, surtout qu’après l’information judiciaire ouverte et la demande d’extradition et les besoins financiers de ma famille, à la place de la solidarité légendaire, de l’assistanat de personne en danger, la téranga sénégalaise, j’entendis : « Gnaw, Bahna ci mo’me = C’est bien fait pour lui ».

Mais qui sont ces sénégalais là incriminés jusque là . Il s’agit bien entendu de ces sénégalais de la diaspora sénégalaise qui ont été les premiers à me soutenir, soutien verbal évidemment et les leaders de l’opposition sénégalaise ( cette opposition de ‘’Poussal Ma Tok’’ de ‘’ Le Pouvoir, Rien que le Pouvoir à Tout Prix’’ regroupés dans le Bennoo. Ces derniers n’ont jamais jusqu’ici manifesté ne serait-ce qu’un soutien ( comme l’a fait ce leader qui ne fait d’ailleurs pas partie du Bennoo) verbal au MLA bien qu’ils en ont été très tôt informés de la plainte lors de leur tournée ici en France à la fin du mois du novembre 2009.

En effet Me Aissata Tall SALL en a été bien informée et le représentant de Bennoo qui au cours de cette conférence de la Rue Solférino animée au siège du Parti Socialiste Français par cette dernière et le Professeur Albert BOURGI. Et c’est justement un intervenant dans cette conférence qui a clairement affirmé que la veille lors de ce meeting de l’APR tenu à Saint-Denis, Amath DANSOKHO a laissé entendre à plusieurs reprises que Abdoulaye WADE est UN VOLEUR. Quoi donc cette occasion inouïe de la plainte du MLA pour se constituer ouvertement partie civile en appui ou si on a peur de contribuer au versement de la consigne ce qui est du reste le minimum que le peuple sénégalais meurtri et opprimé attendait d’eux.
Car il ne faut pas faire l’amalgame avec ceux-là qui sont condamnés à rester là-bas faute de moyens pour voyager. Ceux-là qui assurent difficilement leur billet de transport, leur nourriture au quotidien, leurs soins de santé etc…Pour ces SENEGALAIS là je suis prêt à ramper devant les pieds de Abdoulaye WADE et à devenir non pas le maître chanteur mais le professeur, l’expert chanteur avec le Sous-Projet MLA Sénégal que je vais détailler mais non sans répondre d’abord à ceux- là qui me qualifient de ridicule et de maître chanteur. Pour les faits ce sont bien eux les ridicules après avoir abdiqué, après avoir été bien dompté par devant ce fameux Article 80 pour finir se la fermer ‘’coulement’’, après avoir bien échoué de faire chanter Abdoulaye WADE. Ce dernier qui les a toujours reproché leur manque de formation, vient de les traîner dans la boue, dans cette clairière (palais présidentiel) où les vautours, les charognards, ces journalistes rapaces que je veux nommer s’acharnent et se disputent sur le CADADRE-ARGENT. Ce qui a à coup sur été à l’origine du départ par démission de l’ex-Président du CORED Abdou Latif COULIBALY.

Je ne saurais clore ce passage sans parler de ce BabacarTOURE correspondant de l’Observateur à Paris qui en mal de liquidités pour survivre m’a supplié de lui a accorder une interview non sans me demander de faire un démenti de l‘excuse faite au Président de la République après s’être vanté d’être cet opposant ( opposant de salon oui, peur de sortir) farouche à WADE. Je lui avais demandé, s’il en est à ce point, de relancer la plainte avec le versement de la consignation simplement mais il m’a vite coupé la parole arguant qu’il n’est pas là pour ça mais pour faire son travail. J’ai compris alors que l’hypocrite, le mesquin était contraint de jeter là son masque. Il m’avait invité dans un café de la Gare du Nord pour l’interview et il n’avait même pas de quoi payer la note en s’éclipsant pendant plus de vingt minutes arguant qu’il était sorti téléphoner. C’est pour lui venir en aide que je l’ai invité dans mon hôtel où il a été bien mis au chaud par ces temps de froid à la température négative devant un écran géant de télévision 1 300cm X 1100cm, bien installé sur les fauteuils car la vie à Paris est dure et dure faisait-il ressentir. Là les salariés français, ou qui ont des titres de séjour qui y sont orientés à la faveur de la loi DALO Droit au Logement, payent 15 % de leur salaire tandis que les titulaires du RMI ou du RSA payent 60 Euros moi je ne paie pour le moment rien parce qu’étant déjà reconnu français et j’ai montré à Banacar TOURE la copie intégrale de mon acte de naissance du 11 janvier 2010 délivrée par l’Officier d’Etat-Civil de la République Française de Nantes (Article 18 du Code Civil Français), j’y reviendrai plus loin dans le chapitre ‘’les péripéties juridico-administratives du fils du tirailleur en France’’. Mais au regard de cet acte le visage, qu’on lui connaît plus noir que le mien avec les mêmes yeux sinon plus petits encore que les miens qu’il a décrits dans son article paru dans l’observateur pour me dénigrer uniquement, s’est subitement renfrogné de jalousie et de méchanceté. C’est pourquoi n’ayant pas accédé à son chantage odieux il n’a pas manqué de faire tous ces déballages empreints de cynisme, il s’est tout simplement défoulé dans son article avec tous ces mensonges nourris de haine et de jalousie. Ainsi donc mon logement, ma nourriture, mon transport mensuel, mon médecin traitant (l’Assurance Maladie), même les sorties touristiques, les sorties de cinéma et de théâtre etc….tout est à la charge de l’Etat Français. Et comme il est si malveillant en parlant de foyer d’immigrés : je ne suis pas dans un foyer d’immigrés mais dans un Hôtel Social géré directement par l’Etat Français par la Préfecture interposée et les Associations. J’ai dit plus haut que ceux qui sont là y sont orientés par la loi DALO, c’est pourquoi vous y voyez des Français de souche, c’est pourquoi nous bénéficions d’une connexion à l’internet gratuitement, de repas à la française servis dans un réfectoire par des restaurateurs parisiens et vous devinez bien ces spécificités à la française : menu composé de : Entrée, Plat de résistance, Dessert, etc…. Tout cela est nécessaire pour démontrer que, Babacar TOURE, jaloux et mécontent d’avoir raté sa vie à la parisienne dont il a toujours rêvé déverse sa bile de sadique que l’on ne connaît qu’aux fils de Satan dans son article. L’Aide Juridictionnelle Totale de l’Etat m’est accordée et les Français, Franco-Sénégalais, les Titulaires de titres de séjour qui nous lisent savent qu’un Sans-Papier ne peut bénéficier d’Aide Juridictionnelle de l’Etat et tu as osé défendre le contraire devant moi malgré ta présence, d’après tes dires,,. de ta famille et toi en France depuis des années. Ma mère vient d’obtenir sa retraite française ce qui est loin d’être le cas pour la tienne. Et comme à quelque chose malheur est bon, je me suis opposé à mon avocat qui a demandé, dans le cadre du Code de Justice administrative concernant mes papiers, 2000 euros qui sont bien entendu très insuffisants dans cette affaire et je ne dirai pas le montant demandé en guise de mes dommages et intérêts afin d’épargner l’entrée en transes sur fonds de cruauté de la part des gens comme toi Babacar TOURE. En ce qui concerne ces derniers, je me rappelle encore avec la création du MLA quand il fallait parcourir Paris d’Est en Ouest,du Nord au Sud pour les affichages et la rencontre des Africains dans les foyers et cafés dans la rue etc….Certains de mes compatriotes Sénégalais me taxaient de fou, souhaitaient mon échec dans cette entreprise en empêchant même les autres d’y adhérer, allant jusqu’à dire ouvertement qu’ils préféraient adhérer aux associations ou syndicats français comme la CGT ou le NPA comme si ces derniers se soucient tant du quotidien des sénégalais au point de demander par exemple à l’Etat du Sénégal de faire baisser le coût des denrées de première nécessité. Monsieur TOURE, si tes parents n’ont pas travaillé pour toi, tu ne dois t’en plaindre qu’à toi-même. LAKINENI AZKOUROU WALIDAYYA. Car même si vous êtes français par Déclaration ou par Naturalisation à la suite d’un décret, un faux pas suffit pour que l’on vous le retire. Cependant je me sers de tout cet acquis lié à mon état-civil français de Socle, de Piédestal pour lancer mes offensives pour la cause africaine loin de l’égoïsme et de l’indifférence à son prochain qui caractérisent le genre et type sénégalais. Et n’essaie pas de me provoquer davantage car il m’est facile de dire des choses sur toi à l’Agent de la Préfecture de Police chargé de ma Protection et il faudrait demander à ce Maghrébien qui m’avait escroqué en 2008 dans les tout premiers mois qui ont suivi mon arrivée en France. Suite à ma plainte et sur Ordonnance du Procureur de la République, j’étais introduit dans les locaux secrets de la Préfecture de Police où l’on m’a défilé sur écran 700 têtes d’individus de ce type afin que je puisse reconnaître cet escroc.

Babacar TOURE a eu de la chance car pendant qu’il était avec moi à côté pour l’interview, son ami Mountaga ANE était malmené par les membres du MLA qui étaient là ( Guinéens, Ivoiriens, Zairois pour la circonstance) et qui les qualifiaient d’espions et de traîtres. Le bruit se faisant j’étais obligé de couper l’interview et de venir le tirer d’affaire. Babacar TOURE et son ami ont détalé si vite dans cette rue du 20ème Arrondissement de Paris vers 22 heures qu’ils ressemblaient à de vulgaires lapins pourchassés. C’est à cause de cela qu’il faut comprendre la méchanceté de son article à mon égard intitulé : « La tragédie de Amadou DIAW, un Sans-Papier en France…. ». Mais je lui pardonne parce qu’il fait partie de ces jeunes égarés et mal éduqués qui ne peuvent comprendre que je me sers de ma francité pour combattre l’Etat Français Raciste et Discriminatoire et changer la condition de l’immigré africain et que la fin soit le retour vers l’Afrique libérée de la mal gouvernance, de la corruption et du népotisme, vers cette Afrique dont la reconstruction reste l’enjeu incontestable du 21ème siècle, cette Afrique qui du reste demeure la terre d’inhumation même des français de souche comme Jean COLLIN et autres. Comment un ‘’Sans-Papier ‘’ peut –il être à la tête d’un Mouvement manifestant avec banderoles à travers les rues de Paris et distribuant des tracs qui demandent la démission et la radiation pour actes discriminatoires du Préfet de Police de Paris à l’instar de son homologue au début de l’été 2009 qui avait commis des actes de discrimination à l’aéroport de Roissy. Babacar TOURE a été payé pour ce sale boulot car le MLA a éclipsé voire noyé toutes les Associations et ONG non seulement sénégalaises mais africaines et ce n’est pour rien que j’ai accordé des interviews à la Voix de l’Amérique et à la BBC, les Radios de la Diaspora basées aux Etats-Unis. Babacar TOURE se réclame de Journaliste Ecrivain et Consultant International mais en m’attaquant de la sorte dans cet article il a fait étalage de toutes ses carences dans la géopolitique des temps modernes, de son niveau si bas démontrant une production intellectuelle si nulle dans les débats d’idées surtout lorsqu’il évoque la maladresse du MLA qui a voulu supplanter une ONG des droits de l’homme qui avait porté plainte contre les chefs d’état-africains. Cette ONG qui a repoussé la main tendue du MLA dès sa création ne doit s’en prendre qu’à elle-même. Car Monsieur TOURE hic consultant mal averti ignore en fait que le Jugement de la Cour d’Appel de Paris a fait apparaître qu’une entité non africaine en l’occurrence ici Transparency International ne peut prétendre revendiquer les intérêts du continent africain. Ce qui est bien logique n’est-ce pas. Un clin d’œil aux Africains d’abord de trouver les remèdes à leurs propres maux. Il n’a même honte par ce comportement anti- patriotique et anti-panafricaniste de se faire l’avocat du diable, l’avocat de ces ONG accusées pour la plupart de mercantilisme. Ton ONG à toi c’est le MLA, intellectuel malhonnête et même le MLA refuse que des minables comme toi soit dans ses rangs.

La confusion a été savamment entretenue et balancée, par ce monsieur, dans les esprits en me prêtant d’avoir émis le mot de monstruosité. Mon cher soi-disant ‘’ consultant international’’ là tu es complètement même absent dans l’information de la réalité politique française. En effet c’est cette brave et grande dame lauréate du Prix Goncourt 2009, Marie NDIAYE, dont j’ai la hâte de faire la connaissance afin de lui transmettre toutes mes félicitations car ne la connaissant qu’à travers les médias, cette Linguère de NDER, cette Aline Sitoe DIATTA de la CASAMANCE qui a requalifié ouvertement devant toute la presse française le Régime de l’Etat Français de MONSTRUOSITE. C’est avec sortie courageuse que le MLA a constaté qu’il n’est pas le seul dans ce noble combat en opposition avec ceux là qui ont considéré le Préfet de Police comme Dieu oubliant désormais leur vrai Dieu. Ce nouveau Dieu qui sème et entretient la terreur morale et psychologique chez les Sans-papiers, chez les titulaires du titre de séjour qu’il a assignés à l’esclavage moderne dans le travail en faisant planer le doute, le risque du retrait à chaque renouvellement de ce titre de séjour, idem chez les étudiants obligés après leurs études de s’inscrire de faculté en faculté ou d’Ecole ( d’ingénieur, de commerce,etc….) en Ecole pour tuer le temps pourrait-on dire en attendant une situation meilleure au pays pour le retour ou un titre de séjour providentiel. Quand on sait que là où le Mali refuse de le faire en posant cette condition de la régularisation totale des milliers ( 60 à 80 000 ) de leurs sans-papiers à l’Etat Français, le Sénégal a très vite fait de ne signer que pour 1000 titres de séjour dont les sans-papiers de France n’ont pas encore vu la couleur et nous devons dénoncer cet accord qui permettrait en plus à la France de se débarrasser de ces clandestins apatrides. Où sont les Sénégalais de France par rapport aux autres communautés ? La France ne les sent pas. C’est justement là tout le sens de ce combat pour ceux qui refusent encore de le comprendre que le MLA est là pour changer leur propre condition d’existence ici en France et en Afrique au lieu de le combattre comme le fait ce TOURE. Car pour ce dernier la sentence était entendue et décrétée, il fallait me déstabiliser, m’abattre coûte que coûte comme s’il ne s’était pas regardé ce jour –là au miroir pour comprendre qu’en diabolisant et ma physionomie et mon visage entre ses lignes, il ne décrit que l’image de sa projection dans le miroir ce qui justifie bien son manque d’arguments dans le Débat Historique que le MLA a posé aujourd’hui. S’il se croit bel et élégant homme demandez à ceux qui le connaissent ou qu’il présente sa photo dans ses articles comme il l’a fait avec moi et une photo complète pour nous parler de sa taille, son poids etc….Décidément ce monsieur a tout simplement été méchamment ridicule avec moi. Le coup de poignard de Babacar Touré ( ce descendant lugubre de ces traîtres qui ont fini par perdre, dans leur passé glorieux, ces résistants africains je veux citer Samory Touré, Lumumba, Thomas Sankara etc..) à placer dans le dos a lamentablement échoué, le chien aboie et va continuer d’aboyer devant la caravane du MLA qui est non seulement déjà passée mais est arrivée à bon port. Car le MLA a et continue de bénéficier du soutien moral de ces panafricanistes Professeurs, Poètes et Ecrivains ( de vrais pas de ce genre de Babacar TOURE qui se dit Ecrivain Consultant, Arnaqueur plutôt méfiez-vous en, vous êtes avertis), de ces compatriotes et génies qui ont obtenu dans les années 70 à l’image de la défunte Rose DIENG ( que la terre lui soit légère) le Bac C avec mention très bien et surtout des Parlementaires Français.
Que Babacar TOURE sache que même s’il va bénéficier de la solidarité de ses collègues pour que je ne puisse jouir de mon droit de réponse par rapport à son article paru dans l’Observateur du 02 Février 2010, la réplique sera toujours sinon plus à sa juste mesure car avec l’internet ils n’ont plus ce monopole dans la diffusion de l’information. Et qu’ils se la partagent équitablement cette réplique avec ceux qui comme lui journaliste ou pas m’ont reproché la présentation de ces excuses comme son collègue de Xalima dans cette sortie dans le WEB me qualifiant de Maître –Chanteur.

Seulement la différence fondamentale qu’il y a par rapport à ces gens est que moi je fais chanter et ferai chanter n’importe quel Président qui serait à la tête du Sénégal pour les besoins imminents de survie, d’urgence et de meilleur devenir pour ce bas peuple cité plus haut que de faire chanter le Président pour ses propres poches, pour le cadavre-argent.

En témoigne dès sa création, le 26 Avril 2009, la saisine par lette recommandée avec AR de la FAO et du PAM à la date du 16 Mai 2009 pour une aide alimentaire d’urgence ( Un Million de tonnes de céréales dont les 500 000 T en riz) pour le Sénégal.

Il ne faut surtout pas faire la confusion entre le Chantage et la Générosité, l’Humanisme qui m’habite. C’est dans ce sens qu’il faut comprendre la remise en 2006 déjà afin d’espérer que le courrier joint ci-contre puisse parvenir au Président de la République, des copies de ce Projet de Société, ce Programme du Mouvement Jog Jotna à la famille WADE telle qu’il a été évoqué dans cette lettre d’excuse ( car il se dit souvent que le courrier se détourne et ne parvient donc pas entre ses mains).

C’est ainsi qu’il en est également avec ce Mémoire sur les Centrales Electrique Propres remis à l’ASER, avec celui remis au Maire des HLM et sur le Projet de Ndialakhar. Mes amis m’ont toujours reproché que ce sont les autres qui profitent et vont profiter de mes idées et projets mais pour moi c’est une façon d’adorer Allah car je n’attends de rétribution que de la part de ce dernier. Qui me connaît sait que je me suis toujours détourné des biens matériels futiles et périssables de ce bas monde.

Je n’ai pas de leçon de morale à recevoir de ceux-là et de ceux qui en France en mal d’initiative et de popularité pour leur Association tentent de récupérer mon combat mais il faut passer par là où je suis passé pour ne pas prendre à coup sûr de la boue. Que ceux là qui comme Babacar TOURE, dont le comportement on ne peut plus hypocrite, lâche et criminel à mon égard et qui ne se sont jamais souciés de la souffrance de ma famille pour ne serait-ce que me tendre symboliquement la plus petite somme d’argent à leur envoyer et qui se permettent de me faire ces reproches de présenter les excuses à Abdoulaye WADE ou en me traitant de ce quelqu’un qui a trahi et vendu son âme au diable, que ceux-là, disais-je, me ferment immédiatement leurs grandes gueules ou tout au moins s’ils sont courageux relancent la plainte sans tambour, ni trompette en payant simplement et seulement 1000 euros. La voie est libre pour que n’importe qui se constitue Partie Civile autour de la plainte.

Car ce serait trop facile pour ces gens aux jambes croisées, se frottant les mains, bien vautrés dans leurs fauteuils de salon le plus souvent en train de prendre les trois normaux ( le thé ) se disant : « Cet Imbécile de Amadou DIAW va nous faire le travail tant rêvé contre Abdoulaye WADE, nous n’avons qu’à attendre et le récupérer tranquillement à la fin ».
Ce n’est pas à moi de vous immoler sous vos yeux sans la moindre réaction d’aide votre mouton (Terel lène Sène Khar, Gnade Ko, Réndi Ko, Ngènedi Sétane).

MAIS QU’EST - CE QUE LE SOUS-PROJET MLA SENEGAL ; QUI EST SON PROMOTEUR ?

LE SOUS-PROJET MLA SENEGAL N’EST PAS UN PROJET CHIMERIQUE ET SON PROMOTEUR PAS UN PROFANE

En effet je suis apparu pour la première fois publiquement à la Télévision Nationale Sénégalaise lors du Journal Télévisé de 20 heures le 22 Mai 2005 présenté par Tidjane BARRY qui annonçait « Une nouvelle association est créée l’Association des Fils des Anciens Combattants et Réservistes de l’Armée Française, AFACRAF, son Président Amadou DIAW s’exprime au micro de Ousmane Ngarry FAYE ». L’objectif du combat économique a été bien décliné avec la devise : : « De la même manière que nos pères ont libéré la France du Nazisme, nous allons libérer nos peuples de la PAUVRETE ». L’esprit, l’idée du MLA était ainsi née. Il s’agissait donc d’un combat de libération économique aujourd’hui pour les peuples africains dont les fils des tirailleurs constituent la classe d’avant-garde.

C‘est ainsi qu’en remerciant l’Honorable Député et Conseiller Général de l’Aquitaine Alain ROUSSET pour le travail inlassable qu’il fournit pour la Décristallisation des pensions des Anciens Combattants d’Afrique qui a connu cette victoire récente au Tribunal Administratif de Bordeaux pour 5 Anciens Combattants Magrébiens ( Conscient du fait que l’Etat Français veut gérer l’affaire dans la discrimination et à cet effet il a déposé la Proposition de loi N°1223 0ctobre 2008 à la Commission des Affaires Culturelles de L’Assemblée Nationale), après qu’il m’ait reçu par le biais de son Attaché Parlementaire, la réponse lui est venue du Père Mandiogou (Extrait de mon œuvre autobiograghique : « Les Confidences du Dernier Tirailleur Sénégalais ») qui interpelle la France qui, dit-il, les a trahi pour lui signifier que le seul bien qu’ils attendent d’elle aujourd’hui est le soutien actif du Projet Durable de leurs fils héritiers légitimes incarné par le Mouvement MLA. Car pour eux, même si les pensions sont dé cristallisées complètement, ne les toucheraient que quelques uns les derniers vivants pendant un ou deux ans vu leur âge très avancé et l’Etat Français a toujours misé sur le temps afin de pouvoir y mettre une croix une fois toutes mais c’était sans compter avec la ténacité et la clairvoyance de leurs fils.

LA NAISSANCE DU SOUS-PROJET MLA AU SENEGAL EN 2006 A NDIALAKHAR ( village historique situé à 15 km de Saint-Louis au bord du cours d’eau : le Ndiaséw alimenté par le fleuve Sénégal )

Deux mois avant cette sortie médiatique nous avons été reçus à la Présidence de la République par le Conseiller Technique Omar SECK (ne pas confondre avec le journaliste) sur instructions du Chef de l’Etat.
C’est au lendemain du fléau constaté sur l’émigration clandestine ( Voir pièces jointes) que j’avais recueilli dans une pétition dans le cadre d’une campagne d’explication pour le lancement du Mouvement Jog Jotna au début de cette année 2006 près de neuf cent signatures entre les HLM 1 jusqu’aux HLM Colobane en passant par les HLM 2, 3, 4 et 5 . Je pouvais recueillir autant que me le permettait la condition physique mais constatant que le message était bien passé avec ces échantillons démographiques j’avais décidé de passer à l’essentiel, à la phase active du Projet de Jog Jotna.

J’avais sollicité le financement, dans le cadre d’un jumelage entre l’ASC HLM et l’ASC Ndialakhar pour l’exploitation de 100 HA de riz, au Ministre de l’Agriculture de l’époque qui était Farba SENGHOR. Le riz Paddy récolté devait être acheminé au domaine industriel de Dakar sis aux HLM pour créer des occupations d’emploi à la faveur de son décorticage et la mise sous vente directe avec un prix social mais qui permettrait avec le bénéfice engendré l’autofinancement. Le son de riz très prisé devait contribuer efficacement à l’ intensification de l’élevage de bovins ( l’industrie laitière se développe avec fierté dans cette zone limitrophe de Dakar et de sa banlieue avec des unités importées d’europe ou ailleurs) et de l’aviculture. Je me souviens même qu’un m’avait commandé un tonnage de 40 tonnes de son de riz à collecter dans la communauté rurale de Ross-Béthio. Ce fut un schéma, une idée de développement pour la jeunesse sénégalaise qu’il fallait intensifier à tout le pays. Vu que l’idée était bonne et novatrice, le Ministre Farba SENGHOR n’avait pas lésiné sur les moyens pour en faire un coup médiatique. Pour la première fois Ndialakhar, ce village natal de Amadou Makhtar MBOW, était si médiatisé à la Télévision Nationale : les travaux d’aménagement de 100 HA avec des engins (Grader), les travaux de labour, d’offsettage et de billonnage par des tracteurs, l’irrigation avec motopompes, les semences, les engrais, les produits phytosanitaires et les salaires des ouvriers agricoles étaient gratuitement financés. Les mêmes opérations ont été reconduites pour la Pisciculture avec l’ensemencement de milliers de ces poissons naissants dont j’ai oublié le terme technique en provenance du Centre National de Pisciculture de Richard-Toll. Le tout était piloté par le Directeur Régional de l’ANCAR de Saint-Louis. Bien entendu c’est la réussite de ce Projet qui lui a valu cette promotion avec la nomination à ce poste de Directeur de l’Agriculture du Sénégal.

Ces sénégalais là ( Allez –y et prononcez simplement mon nom ) savent et apprécient bien le Sous-Projet MLA SENEGAL et c’est dans ce sens qu’il faut comprendre en terminant avec humour cette émission dont la Radio Africa Voice de Atlanta aux Etats-Unis m’avait l’honneur d’être leur invité par cette phrase du Vénéré Cheikh Ahmadou BAMBA lors de son départ en exil au Gabon : « Mangi Dem Liguéyi Bouma Diké Ngène Agn = Je pars pour un Travail qui sera récompensé de Déjeuner ». J’avais remplacé le déjeuner par le petit déjeuner du soir (Njogonal) pour l’explication de mon combat pour le Sénégal.

En effet cette année là les habitants de Ndialahar et des villages environnants n’ont pas acheté le riz et la réduction de la pauvreté en était la conséquence immédiate car les effets induits dans cette exploitation hormis le pâturage sont les cultures subsidiaires des légumes et de la pisciculture.
Vous constaterez dans ce Projet en pièces jointes que les acteurs sont les jeunes des ASC détentrices légitimes des terres de leur terroir. Je suis là mais tout mon souhait est que les jeunes de Mbane ( cette partie du terroir de mes grands-parents pour lequel j’avais souvent l’habitude de lancer cette anecdote : si la Casamance prend son indépendance, le Walo prendrait la sienne vu les énormes potentialités agro-industrielles que recèle cette Région du Fleuve de Saint-Louis à Bakel qui doit être la locomotive du développement du Sénégal ) fassent partie des premiers à bénéficier de ce Sous-Projet MLA SENEGAL avec les problèmes fonciers qui y sont survenus.

Ce volet de l’agriculture dans la première phase de ce projet que je connais parfaitement bien pour avoir pratiqué la culture du riz avec la délibération de 50 HA par la Communauté Rurale de Ross-Béthio en 1990. Les terres de ce Sous-Projet MLA SENEGAL sont irriguées ici par le fleuve Sénégal (mon fils aîné a vu le jour à Dagana dans le cœur du Walo et irriguées là par le fleuve Anambé en Haute Casamance ( j’ai eu mon entrée en sixième là-bas à Kounkané à côté du marché inter sous-régional de Diawbé où les soirs au clair de lune, et supporté sur un vélo, j’étais amené à assister à des séances de lutte traditionnelle dans ces villages environnants). Je remercie au passage mon oncle Instituteur qui m’a permis de connaître le Sénégal des profondeurs. C’est ainsi que dans les années soixante j’ai fréquenté l’école primaire à Dahra Joloff qui était son premier poste d’affectation.
Présentement le Sous-Projet MLA SENEGAL a ainsi été lancé par anticipation et c’est en ce début de l’année 2010 s’il était financé que devait avoir lieu la vente à ce prix de 175 F le Kg du riz récolté contrastant radicalement aujourd’hui aux 450 F du prix actuel et à ce prix un bénéfice net est dégagé pour servir à l’autofinancement dans la campagne suivante telle qu’évoquée ci-dessus (chez moi j’ai toujours exigé la consommation de ce riz de loin de meilleure qualité par rapport à ces brisures de riz qui inondent le marché national et à quel prix ). L’aménagement, les intrants, tous les frais sont gratuits et pris en charge par le projet jusqu’à cette vente bénéfique.

LE PARCOURS PROFESSIONNEL DU PROMOTEUR DU SOUS-PROJET MLA SENEGAL

Après ses études professionnelles de la mécanique au lycée technique Maurice Delafosse où j’ai obtenu le baccalauréat de Technicien BAC TECHNIQUE Série F3 ( Mécanique Automobile). Comme il n’y a pas de filière universitaire automobile c’est sur la base de mes notes obtenues au cours de cette session d’examen de 1978 : 19/20 en Mathématiques et 19/20 en Mécanique ( Physique) que j’ai été admis d’office à l’Institut Universitaire de Technologie devenu aujourd’hui ESP par le Chef du Département du Génie Mécanique M. BREMONT à l’époque qui était le Président du Jury,. J’étais le seul car ce Département a toujours été dévolu ou fréquenté par les bacheliers des Séries F1 (Mécanique Générale) et E (Mathématiques et Techniques). J’ai travaillé successivement comme Chef de Forage, Chef Mécanicien, Expert Automobile. J’ai fréquenté par la suite la Compagnie d’Instruction Militaire du Camp Lemonier de Dakar pour obtenir avec Major des Promotions le CAT1 et le CAT2 en Electro-Mécanique. C’est à la Chambre des Métiers de Dakar où j’exerçais en qualité de Formateur que j’ai été débauché par le lycée technique industriel Delafosse pour y servir en qualité de Professeur vacataire De Mécanique véhicules Moteurs en cette année de 1998.
Ensuite j’ai demandé une affectation à Saint-Louis afin de pouvoir m’intéresser en marge de mes contraintes professionnelles aux projets agro-industriels qui me préoccupaient. Pour l’obtention du Certificat d’Aptitude à l’Enseignement Secondaire Technique et Professionnel (CAESTP) en Mécaniques Véhicules Moteurs je me devais de présenter à l’Ecole Supérieure Polytechnique de Dakar après l’Avis Favorable du Directeur en 2003 un thème de mémoire de fin d’études. Le thème était le suivant : « Contribution à l’accroissement de la Production de l’Energie Electrique au Sénégal à partir des Energies Propres : Eolienne et Solaire (Les Centrales Electriques Propres) ».

Le mémoire s’est justifié pour un reclassement en qualité de titulaire car j’ai été recruté au cours de l’année académique 1998/1999 comme Professeur Vacataire de Mécanique Véhicules Moteurs pour l’une des deux classes de cette Section à savoir la classe de deuxième année de Brevet de Technicien ( 2 BT / MVM ) au Lycée Technique Industriel Maurice Delafosse de Dakar (LTID). L’autre classe (3 BT / MVM) était détenue par un collègue Français. J’ai hérité d’une classe très difficile ( 12 élèves dont les 5 ont déjà fréquenté l’Université de Dakar) dont les élèves pour se débarrasser d’un collègue prédécesseur qu’ils ont jugé ne pas être à la hauteur se mettaient tous les jours en grève devant le bureau du Chef des Travaux. J’ai bien mené à terme cette classe ( classe qui devait être prise en charge par quatre professeurs titulaires et qui étaient encore en formation ) et l’un de mes élèves en candidature libre à l’examen du BEP au Lycée Limamoulaye de Guédiawaye a été le premier reçu du Centre. Il faut reconnaître que la spécialité de l’automobile est aujourd’hui l’une des disciplines dans le Secteur de l’Enseignement Technique les plus difficiles sinon la plus difficile parce qu’embrassant les divers domaines de la technologie moderne à savoir : :Mécanique base moteur, Mécanique Diesel, Suspension (hydraulique et hydro-pneumatique, Transmission (Boite de vitesses automatique), Electricité (Schémas, Cablages, Circuits électriques etc…), Electrotechnique ( Moteurs électriques, Alternateurs, Générateurs Statiques etc…), Electronique, Informatique ( Calculateur ou Micro-calculateur électronique à bord des véhicules etc….

En effet et compte tenu de ce qui précède je méritais bien ce CAESTP en 2003 ne serait-ce que sur proposition quatre ans après avoir bénéficié de cette Attestation, de fin de formation à travers quelques modules, destinée aux récipiendaires qui viennent de terminer la formation et les formateurs déjà en place dont je fais partie. La remise de cette attestation signée par le Directeur de l’Ecole Supérieure Polytechnique de Dakar, Maître d’œuvre de cette formation qui a eu lieu dans l’Amphithéâtre de cette Ecole dans le cadre d’une cérémonie solennelle en présence des responsables de la Coopération Française qui ont piloté cette formation par le biais du Projet Formation Professionnelle pour l’Emploi, des Autorités du Ministère de l’Enseignement Technique et de la Formation Professionnelle et des Autorités Académiques de l’Université C. A. DIOP de Dakar.

LES CENTRALES ELECTRIQUES PROPRES
Ce mémoire, un double thème mémoire d’ingénieur, vise à la maîtrise par la compétence et la maintenance des machines de production d’énergie électrique qui équipent ces centrales électriques propres afin de réaliser l’autonomie en énergie électrique du monde rural.

L’ENERGIE EOLIENNE
Nous avons mis dans le vent deux alternateurs automobiles à régulateur électronique intégré de tension nominale 24 V (Volts) et de débit 60 A (Ampères). Après couplage dans le branchement l’intensité totale débitée est de 120 A ce qui représente l’équivalent un dimensionnement de 40 panneaux solaires de 12 V - 50 WC qui délivre à l’unité une charge moyenne de 3 A d’intensité.
L’ENERGIE SOLAIRE
L’un des principaux éléments d’une installation solaire étant l’onduleur, cet dispositif électronique qui convertit le signal rectangulaire d’un courant alternatif en un signal sinusoïdal ou pseudo-sinusoïdal, nous nous sommes proposés de le réaliser pour une parfaite maîtrise de la maintenance de l’outil de production.
En effet l’énergie continue délivrée par le panneau solaire n’est pas compatible au fonctionnement des appareils usuels domestiques (télévision, frigidaire, ordinateur, radio, etc…). Donc il est nécessaire de convertir ce courant continu en courant alternatif mais au premier stade de cette conversion le courant alternatif obtenu présente un signal rectangulaire source de parasites, de distorsions, d’harmoniques etc… néfastes au bon fonctionnement appareils récepteurs cités ci-dessus et cause de leur destruction à très court terme.
Il faut filtrer ce signal, c’est-à-dire éliminer ces parasites, distorsions et harmoniques ce qui m’a conduit à la réalisation d’un Onduleur à but didactique de 12 V-220 V / 250 W :
12 V en courant continu à l’entrée / 220 V en courant alternatif à la sortie avec une puissance de 250 Watts.
C’est ainsi que j’ai préparé acheté dans le commerce pour la réalisation :
Résistances, Diodes, Transistors, Radiateurs Electroniques, LED, Circuits Intégrés, Transistor de Puissance 2N 3055, MOSFET, la confection, l’insolation du Circuit Imprimé à partir des Schémas de réalisation, etc…
Ce sont là, par rapport par exemple aux éoliennes de grande puissance de fabrication industrielle de pointe très coûteuses et à la maintenance compliquée et dépendante, des moyens de production d’énergie électrique localement adaptés dont on ne ferait venir de l’extérieur aucun technicien pour la maintenance.
De ce fait notre autonomie en énergie électrique est quasi-assurée dans le monde rural avec l’électrification des maisons, salles de classe, dispensaires, l’exhaure de l’eau des puits, le pompage et l’irrigation des terres agricoles totalement réalisées avec ces énergies propres.
Ce n’est là qu’une modeste contribution à la suite de cet Appel historique de celui que les Egyptiens ont dénommé le pharaon du savoir : « L’Afrique peut redevenir le centre d’initiatives et de décisions scientifiques au lieu de croire qu’elle est condamnée à rester l’appendice, le champ d’expansion économique des pays développés ».
Cheikh Anta Diop, Ecrits de 1960.

Le Coordonnateur du Département du Génie Mécanique de l’Ecole Supérieure Polytechnique Monsieur Youssouf MANDIANG avait saisi le Proviseur du Lycée Technique Industriel Maurice Delafosse de Dakar pour la mise à ma disposition des Matériels Didactiques et Informatiques afin de bien préparer ce Mémoire.
Après consultations de l’Ouvrage par le Directeur Technique de l’Agence Sénégalaise d’Electrification Rurale ( ASER ) Emile NGOM, et sur sa demande je lui avais accordé la reproduction et m’avait demandé la date retenue de présentation du mémoire pour le parrainage.
Mais la fin du mandat du Directeur de l’ESP venait à son terme et des collègues jaloux ont influencé son remplaçant pour retarder cette présentation avec le seul argument qu’il n’existe pas encore de décret présidentiel pour la Validation des Acquis Professionnels comme cela existe en France et dans tous les pays développés.

Un exemplaire de l’Ouvrage du Mémoire a été remis à la Direction des Etudes de l’ESP et un autre au Rectorat de l’Université C.A.DIOP.
La dynamique enclenchée était dès lors rompue. Cette dynamique en moi qui voulait à la suite de ce CAESTP que je m’oriente vers la conception et la réalisation des cellules photovoltaïques des panneaux solaires qui passe par la fabrication des composants électroniques, dont je possédais déjà une documentation solide et avérée, tels que : les Diodes, Transistors, Thyristors,etc….. La phase de l’industrie de pointe était lancée à mon niveau car je ne pouvais concevoir que depuis l’indépendance des ingénieurs sont formés et sortis des plus grandes écoles de la planète et que concrètement il y a rien en retour pour leur patrie. La science est universelle et elle n’appartient à personne et le pays de Cheikh Anta DIOP ne doit pas en avoir le complexe de se l’approprier comme l’ont fait la Chine, l’Inde et le Brésil. Parce que lui C.A.DIOP n’était pas complexé et l’avait démontré à la face du monde entier, il faut simplement oser. C’est pourquoi ce défi que je voulais relever va être réactualisé par le MLA avec la faveur de cette matière grise de la diaspora, de ces jeunes dont je fais totalement confiance, dont certains avec trois diplômes d’ingénieur dans ces domaines pointus évoqués plus haut ont envoyé leur CV au MLA.

C’est ainsi qu’il faut regretter les blocages et cette jalousie ouverte à l’égard de ces formateurs ayant un profil professionnel pointu et très apprécié par les élèves et étudiants qui ne manquent pas de le manifester dans maintes occasions comme lors de ce dernier cours que j‘ai fait au LTID juste quelque cinq mois avant mon départ pour la France à la date du 10 Mai 2007. Il s’agissait d’un cours de technologie sur la Direction Assistée Electrique ( de Véhicule Particulier Renault Twingo) pour les élèves de la 3ème Année de Brevet de Technicien de niveau Bac Technique Automobile. Un cours sur ces véhicules modernes équipés de micro-calculateur électronique.

A l’issue de la prestation les élèves, très contents et qui se disaient : « mais d’où vient ce monsieur ? » m’ont d’abord supplié de les encadrer pour leur examen très proche avant d’aller le manifester au Professeur Principal de cette Section de Mécanique Moteurs du Lycée Monsieur Ousseynou FALL (chargé de cours également pour les étudiants de la 1ère et 2ème Année de l’ESP et qui m’avait confié ce cours spécialement pour ses propres élèves de cette classe) en présence du Doyen SAMB qui était très comblé car c’est lui-même qui m’a enseigné la mécanique automobile dans cette même section jusqu’à l’obtention du Bac.

Et Mr FALL de me le signifier dès que j’ai franchi le seuil de son bureau en ces termes : « Monsieur DIAW les élèves sont satisfaits de votre cours, ils m’ont même demandé d’où vous venez ». Leur questionnement était normal car, après avoir été le Professeur de cette classe de 2BT/MVM citée plus haut, j’ai quitté ce lycée depuis l’année académique 1999-2000 par une demande d’affectation au complexe du Lycée technique André Peytavin de Saint-Louis précisément au Centre Régional de Formation Professionnelle où j’étais promu comme Principal de la Section Mécanique.

Je suis obligé de citer ces noms pour permettre une éventuelle vérification de la véracité des faits. Nous sommes dans un pays où ce sont des jaloux et médiocres qui sont à la place des compétents. Au Sénégal, les enseignants du secteur de l’enseignement technique et de la formation professionnelle n’ont pas encore fini de dénoncer l’accaparement des postes de direction nationale par des moins gradés.

C’est à la suite de ces injustices que j’avais décidé de porter le combat par le syndicalisme. A cet effet et en ma qualité de Coordonnateur Régional et Conseiller Technique National de l’Union des Enseignants du Sénégal chargé de ce secteur de l’enseignement technique je n’ai pas manqué de saisir les Autorités gouvernementales et même l’Assemblée Nationale pour un meilleur devenir du système de formation dans ce secteur aussi névralgique pour l’économie du pays. J’avais également demandé la création d’une Ecole Supérieure de Constructions Automobiles et de Techniques Aéronautiques. Si la France s’en sort aujourd’hui malgré la crise par rapport à ses voisins européens c’est grâce à la performance de son industrie automobile. Et le Sénégal n’a toujours pas de filière universitaire automobile ce qui m’avait valu trente ans avant d’intégrer une autre filière universitaire après mon bac technique. Même le Maroc et surtout la Tunisie dispose d’une filière de montages concernant certaines parties dans la construction des avions pour certaines compagnies européennes.

C’est ainsi que dans de mes correspondances j’avais saisi le Ministre de Enseignement technique pour l’institution de la Validation des Acquis de l’Expérience qui fait défaut.

Les responsables universitaires, de l’Ecole Normale Supérieure d’Enseignement Technique et Professionnel intégrée à l’Ecole Supérieure Polytechnique de Dakar saisis, se sont réfugiés avec une complaisance sournoise derrière ce manquement institutionnel à savoir l’absence d’un décret présidentiel concernant la Validation des Acquis de l’Expérience. Ils font exprès de se camoufler derrière ce manquement institutionnel qui est pourtant à la base de l’éternelle inéquation entre la formation et l’emploi. Car avec l’institutionnalisation de ce VAE, les talentueux et génies (qui ont eu à déposer des brevets d’invention ou création), les professionnels de l’industrie pourraient venir transmettre directement leur savoir aux élèves et étudiants dans les domaines de la formation professionnelle et technique. Au lieu de penser à encadrer cela pour le bien et l’avenir de la patrie, mes collègues en font leur chasse gardée pour uniquement préserver leurs intérêts personnels au détriment de la nation.

En effet ces responsables se sont simplement limités à une sorte de consolation à mon égard : « Oui, vous savez, Monsieur DIAW, nous savons que vous êtes compétent, vous méritez plus que ce CAESTP mais il faut un décret présidentiel pour la validation de vos expériences ». La page est tournée et ils se la coulent douce, prêts à s’entretuer pour des perdiems par-ci, des augmentations pécuniaires par là sous forme de chantage à l’état sinon ils bloquent ces formations pourtant destinées à la promotion de leurs collègues qui courent toujours derrière leur reclassement.

Ceci démontre à combien la cupidité, la soumission totale aux privilèges et au pouvoir de l’argent ont fini par terrasser tous les intellectuels qui devaient prendre en charge les revendications et la lutte des masses populaires qui croupissent dans la misère la plus absolue.

Je rappelle qu’en 1999 et en partenariat avec le Lycée Technique Industriel Maurice Delafosse (LTID) où je servais en qualité de Professeur, l’Office National de la Formation Professionnelle, l’ONEEAS et la Fédération des Sociétés d’Assurances, j’avais invité tous les Experts et Evaluateurs de la Section Automobile de l’ONEEAS à un séminaire de formation, de mise à niveau au LTID dans les domaines des nouvelles technologies de l’Automobile (Informatique, l’Electronique, l’Environnement etc..).
En rapport avec ce mémoire j’avais reçu une du Ministre de l’Education Moustapha SOURANG une lettre de mise en contact avec son Conseiller en Energie Solaire Mme DIALLO dans le cadre d’un Projet de l’UNESCO pour l’Electrification Solaire des Ecoles. Ce contact pris était suivi d’une audience avec Monsieur le Ministre en compagnie de cette dernière.
En 2004 j’étais détaché, par la lettre d’affectation du Ministre de l’Agriculture au Ministre de l’Education, à lAgropole de MPAL, une unité agro-industrielle d’un investissement de 7 Milliards en qualité Chef de l’Entretien et de la Maintenance. J’avais recruté le Personnel de Maintenance dans le cadre d’une Formation-Restitution avec l’Entreprise Espagnole EMEX SA qui a réalisé l’ouvrage pour le compte du Sénégal, j’ai ensuite procédé aux essais des Machines, Equipements Industriels et des Véhicules ( 13 camions frigorifiques). Vous lirez la suite dans la pièce jointe du Mouvement Jog Jotna.

EN FRANCE

 Admis à l’Académie de Paris pour la validation de mes acquis pour l’expérience (VAE) BTS/MAVA ( Maintenance après Vente Automobile / session d’examen de Décembre 2008 à l’Académie de Créteil)
 Réussite Brillante ( j’ai obtenu les meilleures notes en mathématiques, physique et électricité) aux tests de l’AFPA Meudon-la-foret pour Technicien Supérieur en Maintenance Industrielle après avoir écrit au Ministre du Travail pour ma candidature suite à l’annonce parue dans le Journal Métro du mois de janvier 2008 faisant état d’un recrutement dans l’Ile-de-France de 25 Techniciens Supérieurs en Maintenance Industrielle sous la tutelle du Ministère du Travail.

LE PARCOURS RELIGIEUX

Dans les années 70, très jeune, j’ai participé à la pose de la première pierre de la mosquée AL FALAH de Colobane qui avait vu le jour longtemps avant chez Cheikh AIDARA dans les HLM NIMZAT.
Dans les années 80 j’ai adhéré à l’Organisation pour l’Action Islamique (Jama’atou Amalil Islam) dirigé par l’érudit El-hadj Cheikh TOURE (PSL) fondateur de la Revue Etudes Islamiques dont Bamba NDIAYE était le Directeur de Publication et Momar KANE le Rédacteur en Chef, Oustaz Dame NDIAYE, Dr BABOU, etc…
J’ai assisté à des réunions séances tenantes là-bas où l’on notait la présence entre autres de Sidy Lamine NIASSE, le Défunt Député Latif GUEYE PSL bien avant le lancement de leur groupe respectivement Walf et Jamra et à une visite du Professeur Souleymane Bachir DIAGNE qui venait de terminer ses études d’agrégation en philosophie Il était accompagné de son oncle membre de l’association qui l’avait fait venir pour nous le présenter. Je le lui ai rappelé ici à Paris lors de cet hommage dédié à Mamadou DIA à Sciences PO. L’échange a été très fructueux et il m’avait même présenté le cousin de cet oncle qui là pour la circonstance.

Toujours en ce début des années 80 et en ma qualité de membre fondateur et Président de la Commission Sportive et Culturelle de l’ASC HLM 5 j’avais organisé dans la grande mosquée une conférence (l’une des premières sinon la première conférence organisée par une ASC) sur le thème : « Islam et Jeunesse ».
Depuis et à chaque mois de carême les 60 parties (Hizib) du saint coran sont récitées et étudiées à raison de 2 ou 3 hizib par jour. Ces Hizib sont visitées, débattues, commentées et la compréhension actualisée. Toutes les questions sont permises et pour les questionnements ayant trait aux pratiques rituelles une démonstration pratique a lieu dans la mosquée sur place. Vous devinez aisément l’affluence qu’il y a avec de fidèles croyants en provenance des quartiers voisins, de la banlieue et même des régions. J’en suis l’un des principaux fondateurs et organisateurs.

Témoin oculaire ( en service au COUD comme Chef du Parc Automobile où sur la recommandation du Bureau Organisation et Méthode de la Présidence de la République sous Jean COLLIN j’avais rédigé le Rapport concernant la Gestion des Parcs Automobiles de l’Etat ) du déménagement dans ces années 80 depuis le petit local exigu au sommet du Pavillon A de l’Université CA DIOP qui servait de mosquée et du début des travaux en dur de la mosquée actuelle sous le premier Imamat du Docteur NIANE suivi des KANTE (Imam actuel ) et autres. J’avais été bien remarqué pour les documents et ouvrages islamiques de ces grands penseurs de l’islam dont le Message de l’Islam qui provenait directement de la République Islamique d’Iran que je leur remettais.

J’ai suivi les cours du soir d’Arabe à l’Institut Islamique de Dakar de 1983 à 1988 (J’avais stoppé ces cours cette année là à cause du couvre-feu en ce mois de février)
Dans le cadre du Droit Musulman, j’ai étudié successivement les ouvrages : AL-AKHDARI et AR-RISALAT
Toutes ces actions sont inspirées dans la foi par ces Hadiths ‘’Mouhakad’’ :
« Houtliboul Ilme, Walawbi Sine = Allez chercher le Savoir, serait-ce jusqu’en Chine »
« Arifonii qabla An Taboudoni, Wa In lam Tarifoni Kayfa Lane Taboudoni .=
Chercher à Me Connaître ou à M’Etudier avant de M’Adorer, car Si Vous ne Me connaissez pas, Comment Allez-Vous M’Adorer »
« Kouloukoume Rayine WaKouloukoume Mass’ouloune Anray’atihi……= Vous êtes tous des Bergers et l’on vous demandera l’Etat de vos troupeaux…. »
Une explication pédagogique amène à cette compréhension suivante : « Vous êtes tous comptables devant Dieu de votre comportement d’abord, de celui de votre famille, du comportement de la société dans la cité, du comportement du Responsable politique, de l’Assemblée Nationale à travers ses lois et non lois et enfin celui du Président de la République à travers ses décrets et non décrets ».
LES PERIPETIES JURIDICO-ADMINISTRATIVES DU FILS DU TIRAILLEUR A PARIS ( Extrait de mon œuvre autobiographique « Les Confidences du Dernier Tirailleur Sénégalais »).
L’Etat français peine à assumer son passé colonial.

L’Etat Discriminatoire et Raciste Français dès le début du mandat de SARKOZY a remis en cause tous les acquis qui existaient encore avec les territoires africains ex colonies françaises devenues indépendantes. A cet effet il a donné des instructions fermes au Service Central d’Etat-Civil de Nantes qui ne délivrent désormais que des extraits de naissance qui ne servent pratiquement plus rien ici en France aux ressortissants africains nés avant les indépendances dans ces territoires dont notamment ceux des quatre communes françaises du Sénégal à l’époque : Dakar, Gorée, Saint-Louis et Rufisque. Car aujourd’hui pour le dépôt de la carte nationale d’identité française, les Préfectures de Police exigent la Copie Intégrale de l’Acte de naissance datant de moins de trois mois.

Dans cet ouvrage le personnage représentatif de par son âge de tous les Tirailleurs, le père Mandiogou, surnommé Madi, que nous leurs fils avons rencontré au siège commun de l’Office National des Anciens Combattants de Dakar, délivre ici solennellement son réquisitoire face à l’ancienne puissance coloniale.

Et c’est l’occasion de porter debout, disait-il, cette revendication qui nous tient à cœur et qui consiste à abolir cette Loi du 28 Juillet 1960, une loi de riposte, de vengeance contre cette politique de l’accession à l’indépendance des pays colonisés par la France. Cette loi nous touche de façon anormale, car nous avons toujours servi loyalement la France pendant que les politiciens s’activaient à la politique d’accession à l’indépendance. Quand bien même le contexte choisi ne s’y prêtait pas. Car après le drame de THIAROYE ( banlieue de Dakar ) qui restait encore vivant dans les mémoires, Thiaroye où des Tirailleurs ont été fusillés pour le seul tort qui a été de réclamer leurs indemnités, les contingents qui ont suivi gardèrent leur sentiment de révolte et la plupart d’entre eux avaient déjà regagné leurs villages d’origine aussi lointains les uns que les autres.
Comte tenu de la non couverture médiatique à l’époque comment l’Etat Français peut-il soutenir avoir lancé la campagne de demande souscription à la nationalité française ? Pour le plus grand nombre qui était analphabète ils disent tous ne pas être consultés pour la cause dans ce contexte de l’accession à l’indépendance des anciennes colonies de la France.
Mais heureusement la raison a fini par prévaloir avec ces Textes et Lois de la République Française que nous vous invitons à connaitre et exploiter à la moindre occasion devant l’Arbitraire souvent utilisée par les politiques racistes et discriminatoires des gouvernements français qui n’hésitent pas à les violer en misant sur votre analphabétisme, méconnaissance ou ignorance. Voici donc ces textes, lois, articles et certains de leurs commentaires du Code Civil Français que le père Madi nous prie de d’assimiler et de nous en armer devant l‘Injustice et la Barbarie de l‘Etat Français :

Loi N°73-42 du 09 Janvier 1973 en son Article 32 : « Les Français originaires du territoire de la République Française, tel qu’il était constitué à la date du 28 juillet 1960, et qui étaient domiciliés au jour de son accession à l’indépendance sur le territoire d’un Etat qui avait eu antérieurement le statut de territoire d’outre-mer de la République Française, ont conservé la nationalité française.
Il en de même des conjoints, des veufs ou veuves et des descendants des dites personnes. ( code de la nationalité Article 152) »
Cette loi met bien en échec la loi du 28 juillet 1960.
Article 32-3 : « Tout Français domicilié à la date de son indépendance sur le territoire d’un Etat qui avait eu antérieurement le statut de département ou de territoire d’outre-mer de la République, conserve de plein droit sa nationalité dès lors qu’aucune autre nationalité ne lui a été conférée par la loi de cet Etat.
Conservent également de plein de droit la nationalité française les enfants des personnes bénéficiaires des dispositions de l’alinéa précédent, mineurs de dix-huit ans à la date de l’indépendance du territoire où leurs parents étaient domiciliés. – (C. nat., art. 155-1) ».
Le Droit Français admet le principe de la Double-Nationalité.
Article 18 : « Est Français l’enfant, légitime ou naturel, dont l’un des parents au moins est français. – ( C.nat., art. 17 ). »

Article 31-2 « le certificat de nationalité française indique en se référant aux chapitres II, III, IV du présent titre, la disposition légale en vertu de laquelle l’intéressé a la qualité de français, ainsi les documents qui ont permis de l’établir. Il fait foi jusqu’à preuve du contraire ».
( L. n° 95-125 du 8 févr.1995, art.16 ) « Pour l’établissement d’un certificat de nationalité, le greffier en chef du tribunal d’instance pourra présumer, à défaut d’autres éléments, que les actes d’état civil dressés à l’étranger et qui sont produits devant lui emportent les effets que la loi française y aurait attachés. – ( C. nat., art.150) ».

Article 21-9 ( L. n° 93-933 du 22 juillet 1993 ) « La manifestation de la volonté est recueillie soit par le juge d’instance, soit par une autorité administrative désignée par décret par le Conseil d’Etat à l’occasion d’une démarche accomplie et relevant de sa compétence. Il en est donné acte par des conditions fixées par décret en Conseil d’Etat. L’autorité administrative transmet la pièce consignant la manifestation de volonté au juge d’instance.- V. infra, Décret n° 93-1362 du 30 Décembre 1993, art.1er à 9.
Le juge d’instance délivre un récépissé après la remise des pièces nécessaires à la preuve de la recevabilité et procède à l’enregistrement conformément aux articles 26-1et suivants. L’intéressé acquiert la nationalité française à la date de la manifestation de volonté. – L’art.21-9 entre en vigueur le 1er janvier 1994. – V. L . n° 93-933 du 22 juillet 1993, art.54, infra, art.33-2 »

Article 23 ( Loi N°73-42 du 09 Janvier 1973 ) « Toute personne majeure de nationalité française, résident habituellement à l’étranger, qui acquiert volontairement une nationalité étrangère ne perd la nationalité française que si elle le déclare expressément, dans les conditions prévues aux articles 26 et suivants du présent titre.- ( . Nat., art.87 ) »

Article 26 ( L. n° 93-933 du 22 juillet 1993 ) « Les déclarations de nationalité sont reçues, sous réserves des dispositions de l’article 21-9, par le juge d’instance ou par les consuls suivants les formes déterminées par décret en Conseil d’Etat. - V. infra, Décret n° 93-1362 du 30 déc. 1993, art. 10 à 34.
Il en est délivré récépissé après remise des pièces nécessaires à la preuve de leur recevabilité. - L’art. 26 entre en vigueur le 1er janv. 1994 - »

Article 30 ( L. n° 73-42 du 09 janvier 1973 ) « La charge de la Preuve en matière de nationalité incombe à celui dont la nationalité est mise en cause.
Toutefois, cette charge incombe à celui qui conteste la qualité de français à un individu titulaire d’un certificat de nationalité française délivré conformément aux articles 31 et suivants .- ( C.nat., art.138 ) ».
POSSESSION D’ETAT DE FRANçAIS :
SECTION IV - DES DECLARATION DE NATIONALITE A RAISON DE LA
POSSESSION D’ETAT DE FRANçAIS :
( Article.33-2 Loi n°93-933 du 22 juill.1999 // Décr. n°93-1362 du 30 Déc.1993)
17 - Pour souscrire la déclaration prévue à l’article 21-13 du Code Civil, le déclarant doit fournir les pièces suivantes :
1°) La copie intégrale de son Acte de naissance
2°) Tous documents émanant des autorités françaises justifiant qu’il jouit de façon constante de la possession d’état de français depuis dix ans, tels que carte nationale d’identité, passeport français, carte d’électeur, pièces militaires, immatriculation dans les consulats de France ;
3°) Le cas échéant, le jugement ou la décision administrative lui opposant son extranéité ;
4°) Le cas échéant, les actes d’état-civil de ses enfants mineurs étrangers qui résident avec lui de manière habituelle ainsi que les pièces de nature à établir cette résidence.

FAITS ET PROCEDURES

Je suis Français par Filiation, fils et petit-fils d’Anciens Combattants de la République Française qui n’a connu son appartenance à la citoyenneté française qu’à la suite du décès le 18 /10 /2004 à Dakar de son père après avoir retrouvé les papiers français perdus de ce dernier.
C’est le 10 Janvier 2005 que j’ai été convoqué au Service de l’Etat-Civil du Consulat Général de l’Ambassade de France à Dakar pour la remise de mes documents. Il s’agissait en fait de la Copie Intégrale de mon Acte Naissance délivrée selon Procédé Informatisé par l’Officier d’Etat-Civil de Nantes, Pièce exigée par les Préfectures de Police dans les sollicitations de la carte nationale d’identité française. En effet la Copie Intégrale de l’Acte de Naissance datant de moins de trois mois est la Preuve de la Nationalité Française et / ou la Carte d’identité nationale en cours de validité( Référence faite à cette page consulaire du Ministère des Affaires Etrangères)

Le 18 Octobre 2007 je débarque en France à l’aéroport Charles De Gaulle de Paris avec un VISA SCHENGEN, pour des raisons de maladie et bien entendu j’en ai profité pour revendiquer ces droits dont les pensions militaires de ma mère qui ont été accordées.

J’ai aussitôt sollicité l’obtention de ma carte d’identité française le 31/12/2007 à la Préfecture de Police de Paris 17ème et le certificat nationalité française au Tribunal d’Instance du même arrondissement.

Comme pour tester mes connaissances j’ai été d’abord admis à l’Académie de Paris pour la validation de mes acquis pour l’expérience (VAE) et ayant réussi brillamment ( j’ai obtenu les meilleures notes en mathématiques, physique et électricité)aux tests de l’AFPA Meudon-la-foret pour Technicien Supérieur en Maintenance Industrielle après avoir écrit au Ministre du Travail pour ma candidature suite à l’annonce parue dans le Journal Métro du mois de janvier 2008 faisant état d’un recrutement dans l’Ile-de-France de 25 Techniciens Supérieurs en Maintenance Industrielle sous la tutelle du Ministère du Travail.
C’est ainsi que suite à ma saisine le Ministère de la Défense a adressé à ma mère,et qu’elle doit se mettre en rapport avec la Caisse Nationale d’Assurance Vieillesse des Travailleurs Salariés de Tours, cette Attestation d’Affiliation Rétroactive à l’Assurance Vieillesse du Régime Général de la Sécurité Sociale à la date du 15/12/2008 juste après le 11/12/2008 date à laquelle le Préfet de Police de Paris a décidé de m’obliger à quitter le territoire français (OQTF) sur proposition de la Direction de Police Générale qui a fait rétention, confiscation ou détruit peut-être même tous mes documents français à l’effet de me qualifier d’Etranger à Expulser. Sur ce je l’ai défié ouvertement par lettre recommandée à la date du 16 /12 /2008 en lui faisant savoir qu ‘il a été complètement induit en erreur ou abusé par cette DPG dont il dit avoir tenu cette proposition, que je suis un Français Vous SINON PLUS car je ne le suis ni par Déclaration, ni par Naturalisation comme votre Collègue de Préfet d’Origine Camerounaise récemment nommé mais par le Droit du Sang / Jus Sanguinis ( et également même par le Droit du Sol / Juli Soli parce que mes parents sont nés dans une ex-colonie française) Article 18 du Code Civil. Par cet Acte le Préfet de Police de Paris mérite également d’être démis de ses fonctions comme l’autre dont l’Acte a été certes plus visible ( En fait c’est au début de l’été 2009 qu’un Préfet a été suspendu puis mis à la retraite d’office pour actes discriminatoires et racistes à l’égard de travailleur à l’aéroport de Roissy).
C’est cette décision de l’OQTF que le Tribunal Administratif de Paris en complicité flagrante avec le Préfet de Police a confirmée dans des circonstances pas conformes au principe du Droit. Car comme on peut le constater sur ma convocation l’Audience Publique N°0903997/3-3 du 08/06/2009 devait avoir lieu le 08 Septembre 2009 mais le Jugement N°0903997/3-1 du 18/09/2009 met bien en relief la tenue de l’Audience par anticipation à la date avancée du 1er Septembre 2009 sans que je puisse en être informé. Par conséquent ce Jugement ne peut être que Nul et Non Avenu parce que dépourvu dans la forme de son caractère de solennité publique et dans le fond à aucun moment ma citoyenneté française n’a été évoquée à travers la copie intégrale de mon acte de naissance datant de moins de trois mois qui est la preuve de la nationalité française que j’ai pourtant envoyée par lette recommandée au Président de ce Tribunal. Tout cela a été fait exprès pour que je ne puisse apporter les preuves accablantes qui chargent et disqualifient cette décision du Préfet de Police de Paris dans le cadre de l’application de la CONSIGNE DISCRIMINATOIRE par l’Appareil d’Etat Français ( Préfectures, Greffes, Parquets, et même cette Section du Tribunal Administratif etc…) car un Français ne peut pas expulser un Français. Car la copie intégrale de mon acte de naissance datant de moins de trois mois est synonyme de délivrance immédiate de Titre de Séjour VPF en attendant la délivrance du certificat de nationalité française dans un maximum de deux mois. Imaginez un seul instant un citoyen américain dans ces conditions. Et c’est en cela justement que ce régime est monstrueux car l’on se demande en quoi le Ministère de l’Intérieur dont dépend le Préfet de Police est supérieur au Ministère de la Défense (pour les pensions vieillesse à ma mère) et à la fois supérieur à ces deux ministères car le Service Central d’Etat-Civil de Nantes est un Service du Ministère de la Justice rattaché au Ministère des Affaires Etrangères(pour la délivrance de la copie intégrale de mon acte de naissance français datant de moins de trois mois). Mais heureusement que la Justice Française est là pour juger des Présidents, des Premiers Ministres à plus forte raison un Commis, un Agent de l’Administration comme le Préfet de Police considéré comme ce Dieu par certains.

Cette décision de l’audience du Tribunal Administratif de Paris que j’ai contestée s’était tenue autour de :
Dossier n° 0903997/3-1 du 18/09/2009 Notification de Jugement
M.Mendras
Président-Rapporteur
M. Baffray
Rapporteur Public
( 3ème Section – 1ère Chambre )
Mais c’est après ma requête en annulation, sans attendre l’Avocat qui projette encore d’être repayé avant de faire appel, de ce jugement que le Président du Tribunal en la personne de Madame De Segonzac avait décidé de transmettre ce dossier N°0917613/12 par 0rdonnance du 06/11/2009 à la Cour Administrative d’Appel de Paris. Mais c’était un peu trop tard car cette Cour Administrative d’Appel a été déjà saisie par le Conseil d’Etat sur ma requête.
La Cour Européenne des Droits de l’Homme avec la Requête 59900/08 Diaw contre France a également été saisie et elle m’a remis ses coordonnées téléphoniques pour la saisir immédiatement au cas où la procédure d’expulsion devait évoluer.
Mon avocat payé par l’Aide Juridictionnelle Totale de l’Etat Français ne m’a pas fournit d’explication quant à la tenue par anticipation de cette audience publique sans m’en informer. Vous savez certains avocats sont racistes, d’autres pour de l’argent ils ne vous font pas de travail sérieux et au contraire à la satisfaction de la Préfecture de Police. J’en ai traduit un ( sur les 5 qui m’ont reçu en consultations dans cette affaire qui se sont soldées à l’échec ) devant le Conseil de Discipline de l’Ordre des Avocats de Paris. Tous, solidaires avec la Préfecture de Police, ils vous bloquent et font la même chanson autour de cette loi du 28 Juillet 1960 et il y en a qui ne connaissent même pas ce que c’est les territoires d’Outre-mer. Ainsi donc comme vous le constatez j’ai assuré ma propre défense dans ce combat qui m’oppose à l’Etat Français ici représenté la Préfecture de Police qui vise à travers ma personnalité tous les fils d’Afrique de près ou de loin. Me combattre ne signifie donc rien d’autre que Se combattre soi-même.

La Direction de Police Générale ne veut pas me remettre mes papiers voire ma carte d’identité numérisée régulièrement sollicitée depuis le 31 Décembre 2007 arguant qu’il manque le certificat de nationalité française dans ce cas d’une première demande de carte d’identité française. La demande de ce certificat de nationalité française en application de cette consigne discriminatoire m’a été refusée par discriminations par le Greffier en Chef du Tribunal d’Instance de Paris 17ème et elle est suivie par cette plainte qui suit son cours devant le Tribunal de Grande Instance de Paris avec l’Assignation du Procureur de la République son Chef hiérarchique. En effet la discrimination est établie de fait en violation flagrante de l’Article 14 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme dès lors que mon Origine Nationale ou Sociale en tant que Citoyen Français présentant dans son pays la copie intégrale de son acte de naissance datant de moins de trois mois ( qui est la preuve de la nationalité française et délivrée par l’Officier d’Etat-Civil du Service Central d’Etat-Civil de Nantes qui reste un Service du Ministère de la Justice rattaché au Ministère des Affaires Etrangères de la République Française) est évoquée à travers la Loi du 28 juillet 1960 mise en échec d’ailleurs par une autre loi plus récente qui est la Loi 73-42 du 09 Janvier 1973 en son Article 32.
Pour finir de traîner le Préfet de Police de Paris devant la justice française, la semaine dernière je me suis constitué Partie Civile auprès du Doyen des Juges d’Instruction Près le TGI de Paris contre le Préfet de Police de Paris pour entre autres Chefs d’accusation de propos discriminatoires et d’excès de pouvoir avec faux et usage de faux.

Il est clair que je ne suis pas visé et que je considère tout cela comme une intimidation à finalité de jurisprudence pour ceux qui comme moi ont droit à leurs papiers ou à leur nationalité française et qui sont là ou sont encore en Afrique dans l’ignorance la plus totale. Donc au lieu de me combattre on ferait mieux afin d’éviter ces expulsions et refus de titres de séjour à bon nombre de nos compatriotes de se souder autour de nos juristes et avocats pour la conquête de nos droits les plus légitimes obtenus ça et là par exemple par l’Algérie, le Maroc et même d’autres communautés de l’immigration récemment arrivées en France. D’avantage de conquête comme nous en sommes si honorés aveccet Arrêt DIOP. En effet le Conseil d’Etat Français considère à la date du 30 Novembre 2001, à travers l’Arrêt DIOP, sur la base de l’Article 14 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme, que la loi de cristallisation des pensions des Anciens Combattants d’Origine Africaine crée une situation de discrimination à raison de la nationalité. La demande de revalorisation de Monsieur Amadou DIOP au Ministère de la Défense est reconnue Recevable. La Loi de finances pour 2002 va assouplir la règle en appliquant un critère de parité des prestations selon le pouvoir d’achat du pays de résidence.

Oui d’avantage de conquête ici car malheureusement c’est la solution d’urgence devant la situation économique difficile de nos concitoyens restés au pays qui ne comptent que sur le transfert d’argent en provenance de la diaspora sénégalaise. Mais bien entendu l’émigration n’est pas une fin en soi pour le MLA qui a clairement décliné son combat dans l’objet paru dans le journal officiel de la République Française.

LE PARCOURS POLITIQUE

Fonctions Politiques :
1999 - Secrétaire Administratif Adjoint de la Section Communale du
PDS HLM
2001 - Membre de la CIS /PDS Antenne de Saint-Louis Chargé de
l’URS : « Commerce-Agro-Industrie-Artisanat ». Cette antenne de la CIS avait été installée à la Maison de Lille en présence de Macky SALL alors Président de la CIS ( le seul poste qu’il détenait avant son entrée et son premier poste dans le Gouvernement) et de Ousmane Massek NDIAYE jusque tard vers deux heures du matin à la veille des ‘’Régates’’ de Saint-Louis que devait présider Madame Viviane WADE.
2003 - Coordonnateur Régional des Cellules d’Entreprise PDS de
Saint-Louis derrière le Secrétaire National Pape Momar DIOP
2004 - Délégué de Quartier des HML 4 après le décès de son père.
Suite à une lettre détaillée accompagnant un Projet Agro-industriel pour le Delta et la Vallée du Fleuve Sénégal juste au lendemain du 19 mars, voici la lettre présidentielle N° 622 du 10 Mai 2000, que le Président Abdoulaye WADE m’avait envoyée en ma qualité d’Expert-Consultant et dans laquelle il disait qu’elle avait retenu toute son attention et qu’elle la remettait au Ministre de l’Agriculture qui ne manquera pas de se mettre en contact avec nous. Mais ce contact ne s’est jamais manifesté.

Cette lettre était suivie d’une demande de consultance en 2001 de la Présidence de la République sous la direction de cabinet de Idrissa SECK. Dans ma réponse j’avais proposé la mise en place avec le Fer du Sénégal Oriental d’une sidérurgie, une véritable industrie lourde avec la Construction à court terme de véhicules et d’engins mais dans l’immédiat des usines de montage de véhicules. Sont-elles celles de Thiès aujourd’hui ?
Je n’en réclame pas d’honoraires mais plutôt une meilleure planification pour ne pas concentrer tout à Dakar et ses environs.

CONCLUSION
Fidèle à sa démarche, le MLA poursuit son combat pour l’Afrique et les Africains.
Ci-joint le courrier daté du 28 Janvier 2010 que le Président du Groupe Socialiste, Radical, Citoyen et Divers Gauche de l’Assemblée Nationale de la République Française, Jean-Marc AYRAULT a adressé au MLA.
Ce courrier est accompagné, en rapport avec les propositions et perspectives de développement de l’Afrique, avec les relations entre la France et l’Afrique, des éléments suivants :
1)
La lettre en date du 04 Août 2009 que le Président SARKOZY a adressée à Jean-Marc AYRAULT
2)
La lettre en date du 22 Juillet 2008 que Jean-Marc AYRAULT a adressée à Nicolas SARKOZY
3)
Le Rapport d’Information de l’Assemblée Nationale de la République Française N°1332 Décembre 2008 intitulé :
‘’ Pour un nouveau partenariat entre la France et l’Afrique ‘’
par la Commission des Affaires Etrangères
Président :
Jean-Louis CHRIST
Rapporteur :
Jacques REMILLER
4)
La lettre en date du 18 Septembre 2007 que Jean-Marc AYRAULT a adressée à la Présidente de l’Association SURVIE.

Que les détracteurs se détrompent et se ressaisissent pour ne pas rater le train de l’histoire conduit aujourd’hui par le MLA. Car ils sont trop petits et trop perdus pour essayer de le discréditer ainsi qu’à son Président, car le MLA est déjà inscrit dans les annales de l’histoire pour avoir posé le vrai débat de l’Afrique dans le monde contemporain.

Qu’ils se détournent de la mauvaise conscience, de cette maladie incurable de la jalousie, de l’égoïsme, de l’hypocrisie,du cynisme, de la mesquinerie, de la non assistance de compatriote et de sa famille en danger qui forcent et constituent le Propre, la Spécificité, l’Exception du Maillon (en parlant de chaîne représentative de tous les pays du continent africain) SENEGAL ;

Qu’ils s’arment donc de courage, d’idées généreuses et positives et viennent répondre, prendre leur place autour de cette table du débat historique posé par le MLA à coté de nos désormais partenaires Parlementaires Français.
Le MLA, toujours cohérent et fidèle dans sa démarche consignée dans le Journal Officiel N° 22 de la République Française du 30/05/2009 livre à sa page 2647 paragraphe1096 : « Déclaration à la préfecture de police Mouvement MLA (Le Moment de se Lever pour l’Afrique) Objet : Appel à tous les africains et à la Diaspora Africaine dans le but de mettre un terme à l’émigration clandestine et à ses drames, développer les structures d’accueil pour tous les immigrés dans leurs pays d’origine afin de favoriser un retour paisible sans contrainte, ni forcing ».
Le MLA déclaré dans son préambule comme une Association à But Humanitaire International pour l’Afrique invite à un dépassement des clivages, rivalités et guerres de positionnement politiques pour l’essentiel qui se résume à une intervention d’urgence en Afrique dans les domaines alimentaires et sanitaires tels que définis dans son programme.

L’heure est grave et n’est pas à la continuité dans cette émigration vers les pays occidentaux et il faudrait que les immigrés arrêtent de miroiter et de perpétuer le mirage de cet Occident avec entre autres facettes ces investissements inutiles et improductifs : marier la plus belle fille du coin-cgonebi, construire la plus belle villa du coin-cognebi, manger non pas à sa faim mais à l’ostentatoire du surplus sous le regard des damnés de la cité-cognbi.

L’heure est grave mais l’espoir est permis en se projetant sur l’avenir avec les constructions de toutes les villes africaines à l’image de leurs consoeurs occidentales : métros, galeries souterraines, immeubles, jardins et parcs, ponts suspendus, etc…. C’est là où il y aurait un sens au retour de l’ascenseur car les occidentaux eux-mêmes seraient contraints d’ émigrer en Afrique en suivant leurs entreprises et groupes multinationales. Oui l’enjeu du 21ème siècle c’est l’Afrique. Et ce n’est qu’à travers cela que nos enfants et petits enfants ne nous condamneront pas de leur avoir légué un continent ruiné, spolié et par conséquent invivable.

Mes chers compatriotes et chers Africains, nul doute que l’ombre du MLA a plané dans les travaux du 14ème sommet de l’Union Africaine à Addis-Abéba qui a réitéré son rejet total des changements anticonstitutionnels de gouvernements et réaffirmé sa détermination à mettre fin de manière définitive à ces pratiques qui gangrènent les démocraties africaines. Cette résolution est contenue dans une déclaration publiée sur le site de l’UA le 5 Février 2010. Vu la réticence évidemment de certains Chefs d’Etat le MLA s’engage avec ses désormais partenaires et Parlementaires Français à faire priorité de cette question avec la sécurité alimentaire.

Et c’est l’occasion pour le MLA de se féliciter de ce Coup d’Etat au Niger qui n’est rien d’autre que la réponse à cet autre Coup d’Etat Institutionnel et le MLA d’exhorter les auteurs à honorer leur parole pour restituer le pouvoir institutionnel et démocratique au peuple Nigérien.
Le Président Abdoulaye WADE a tout le mérite de réfuter publiquement les accusations contenues dans la plainte et de faire la déclaration de son patrimoine. Le MLA s’en honore d’avoir été entendu et de continuer sa mission dans l’intérêt général du continent africain car l’Afrique doit changer et elle va changer. C’est ainsi qu’il en sera pour tous les Chefs d’Etat ou Personnalités Politiques Africains accusés de détournements de fonds publics et d’acquisition illégale de biens immobiliers en France car le MLA tel repris dans sa Charte Fondamentale est le GENDARME DE LA DEMOCRATIE EN AFRIQUE.
CETTE ETAPE DE LA FRANCE PASSEE, LE MLA VA S’ATTAQUER AUX PARADIS FISCAUX POUR LA RESTITTUTION AUX PEUPLES AFRICAINS DES 200 MILLIARDS DE DOLLARS DE FONDS PUBLICS DETOURNES PAR DES CHEFS D’ETAT AFRICAINS SELON UNE ENQUETE EUROPEENNE,
RECONFORTE EN CELA PAR LE PRESIDENT NICOLAS SARKOZY POUR CES REFLEXIONS A PRENDRE EN COMPTE AU NIVEAU DU G20.
Oui, en plus de ses énormes richesses naturelles, l’Afrique a les moyens de son développement véritable et historique.
Soutenir le MLA, c’est se soutenir soi-même pour son peuple et pour tous les peuples Africains.
Vive le MLA
Vive l’Afrique
Le Président du MLA
Amadou DIAW

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