L’Iran éternel

L’Iran éternel

Ô, mon pays, mon cher pays,

À l’heure du partage du monde,

Convoité par des puissants,

Malmené par des robes longues,

La richesse de ton peuple attire les pires serpents de l’enfer.

Épuisé par tant de manœuvres,

Le cœur chaviré, je détourne mon regard.

J’observe le sort de tes voisins, Irakiens et Afghans.

Au nom de Dieu ou de la liberté des hommes,

Ces envahisseurs ne font qu’un aux yeux du peuple.

Ô, mon pays, mon cher pays !

Encore et toujours debout grâce à tes enfants,

Ô, grande Perse, berceau des grands hommes,

Sois grandiose, encore une fois, et sois-le pour l’éternité.

Le Phénix renaîtra de ses cendres.

Zal