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rencontre à Montataire

Pauline Kalla, camerounaise et picarde

mercredi 25 mai 2011, par Frederic Praud


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Messages

  • Pauline,

    Moi et ma classe, vous remerçions de votre déplacement. Chaque participant venu nous raconter son histoire nous touche.
    Car "mine de rien" cela se fait sous forme de morale.

    Comme tous les participants, vous nous avez apporté de la culture. En effet l’histoire des pays est vaste et moi personnellement je n’avais aucune connaissance du Cameroun et donc, votre histoire m’a instruite.

    Votre progression dans votre passé est exemplaire. Le fait, que vous ayez changé de pays et de nationalité, a beaucoup modifié vos opinions de bases.

    Après tout un bouleversement de vie (votre départ du Cameroun pour la France pour trois ans, soucis au Cameroun) peut changer tout un destin. Votre destin a été généreux envers vous, vous avez gagné le succès des études, la modernisation, l’amour et bien plus encore.

    Sur ces dernières lignes je tiens à vous dire, toute la motivation que vous m’avez apportée. Bonne continuation.

    Cordialement.

    Mélissa G.

  • Chère Madame KALLA Pauline,

    Tout d’abord, je vous remercie de votre intervention au lycée André Malraux à Montataire, car venir raconter sa propre vie devant de nombreux spectateurs n’est pas facile. Cela demande beaucoup de courage et ce courage là vous l’avez. Nous avons bien ressenti cette ambiance chaleureuse.

    Est-ce que pour vous, être issue d’une famille polygame vous gêne ?
    Vous n’auriez pas aimé avoir des cousins ou cousines du même sang que vous ?

    Personellement je n’aimerais pas que mon grand-père épouse une autre femme tandis que ma grand-mère est toujours présente. Mes origines et surtout ma religion ne le permetteraient pas sauf bien sur après un décès ça c’est autre chose.

    Vous nous avez raconté que vous ne vous mélangiez pas au lycée avec d’autres origines que vous, peut-être par peur d’oublier d’où vous venez mais moi je pense que plus on s’ouvre aux autres plus on connaît de coutumes et c’est ça qui vous identifiera.

    Plus vous racontez, plus on aimera savoir ce qui se cache derrière vos pensées. J’essaye aussi de me mettre à votre place, en sachant qu’il est dur de s’intégrer à un pays et une école en tant que fille d’immigrée je peux comprendre le manque du pays.
    Est-ce que vous auriez aimé garder votre nationalité camrounaise ?

    Jusque là vous avez eu un bon parcours dans cette vie, surtout avec la création d’une association, vous pouvez être fière de vous. Il y a beaucoup de personnes qui n’arrivent pas à atteindre leurs rêves mais votre phrase m’a beaucoup touchée " quand on veut on peut", j’espère qu’avec votre phrase j’arriverais à atteindre mes plus beaux rêves...

    Je vous remercie encore une fois encore de partager avec nous tous les événements de votre vie avec bon coeur.

    Tulin S.

  • Chère Pauline KALLA,

    Je vous remercie beaucoup de votre intervention qui m’a parue intéréssante car vous m’avez appris beaucoup de choses sur vous. Comme par exemple que vous maîtrisez dix langues à l’écrit et à l’oral, cela doit être compliqué pour vous car pour nous déjà c’est compliqué d’avoir une autre langue même si l’on a des notions.

    Pour ce qui est de l’éducation, il fallait être très attentive aux tâches par exemple la participation au ménage cela se faisait sur votre temps libre juste après l’école. Vous n’aviez pas le temps de faire vos devoirs. Quand je rentre du lycée, je ne fais pas les tâches ménagères car je me lance tout de suite dans mes devoirs vu que j’ai tout en tête. Je fais une partie du ménage le week-end vu que c’est tranquille.

    Vos enfants doivent être tristes de ne pas avoir la même nationalité que vous. Je me doute qu’ils auraient aimé avoir la nationalité camerounaise.

    Aujourd’hui, vous êtes agent de développement étrangère vous aidez les gens à s’intaller en France, je trouve que c’est une bonne initiative. En même temps, vous travaillez dans les mairies, on peut s’apercevoir que vous vous impliquez dans tout ce qui est administratif car vous avez créé une association et vous la suivez de A à Z, du début jusqu’ à la fin. Vous devez être habituée à accueillir des personnes qui veulent s’installer en France.

    Pour conclure, je vous félicite pour tout ce que vous avez vécu dans votre enfance jusqu’à maintenant.

    Cyrielle P.

  • Madame KALLA Pauline,

    Je vous remercie pour cette intervention dans notre lycée, cela m’a fait plaisir.

    Vous êtes née en 1959 au CAMEROUN. J’aimerais être comme vous, pouvoir parler plusieurs langues. Cela m’a beaucoup touchée car dans votre pays l’espérance de vie est de 65ans cela est jeune comparé à chez nous. Votre maman parle le YABASSI ainsi que votre papa le DOUALA ; Ils ont la même religion mais n’ont pas la même langue. Dans votre pays il y a 2 langues officielles. Votre mère a vécu plus longtemps que votre grand-mère ainsi de même pour votre père et votre grand-père. Vous êtes venue faire vos études en France, vous ne parliez pas aux autres mais seulement aux gens du Cameroun.

    Dans notre génération tout le monde parle à tout le monde, il n’y a pas de racisme enfin de mon point de vue.
    Votre père est né en 1938 et travaillait en tant que marin et votre mère est née en 1938 et travaillait dans le commerce ; vendait des fruits et légumes, si c’était l’époque des fraises elle vendait des fraises...

    Vos frères et sœurs ainsi que vous, vous faisiez les tâches ménagères par obligation que nous maintenant nous ne sommes pas obligés de les faire. A notre époque on peut sortir quand on veut notre mère ne dit rien comparé à votre mère qui était sévère, vous étiez obligée de trouver une excuse pour sortir dehors quand vous partiez chez votre grand-mère.

    Vous avez passé 3 années au collège et le brevet à la fin de la 3eme année et vous êtes allée au lycée technique vous avez fait STG gestion.
    La première chose que vous avez remarqué en arrivant en France c’est le climat...

    Je vous remercie de votre intervention.

    Justine L.

  • Madame KALLA,

    Je vous remercie de votre déplacement et de votre présence au sein de notre établissement afin de nous raconter votre histoire.

    Au début, j’étais attentive et sérieuse à ce que vous alliez nous dire, petit à petit je me perdais dans votre histoire car vous parliez de plusieurs choses à la fois.

    Malgré une jeunesse attristée par la pauvreté, votre mère a eu le courage de travailler pour vous nourrir ainsi que vos frères. Vous étiez également la deuxième fille de la famille à avoir la responsabilité de faire le ménage ou de faire à manger pour les frères et soeurs.

    Vous faites preuve de patience et de courage. Moi, depuis le départ de ma soeur qui est partie se marier, les tâches ménagères me courent toujours après, vu ’l’indisponibilité’ de ma mère qui travaille, en rentrant des cours j’ai la responsabilité de m’occuper de cela. Chez vous les hommes participent aux tâches ménagères ?, tandis que moi, chez les Laotiens, les hommes ne participent pas et ne touchent pas aux tâches ménagères.

    Vous avez également eu la chance de rentrer dans une école universitaire, la fac, où vous avez passé la majorité de votre temps. Se sentir exclue, rejetée par les autres devait être difficile car rester seule à la fac n’est pas intérressant. Vous allez me dire que l’école est plus important c’est sûr, mais on a besoin de faire de nouvelles rencontres et de nouvelles connaissances même si pour vous, vous n’avez pas fait le premier pas. Mais l’essentiel est déjà là : vos ami(e)s camerounais.

    Poursuivant vos études à la fac, vous avez rencontré un jeune homme qui est devenu votre mari maintenant. C’est une histoire qui dure : 20 ans de mariage. Je vous souhaite de continuer dans cette bonne voie.

    Vous êtes une personne encourageante et agréable, remplie de qualités, même en ayant eu une vie difficile et compliquée dans votre jeunesse ; votre vie de maintenant pour moi, est réussie et je vous encourage à rester vous-même et de continuer comme cela.

    Nancy M.S.

  • Mme KALLA,

    Votre histoire m’a intéressée, je trouve que votre mère a eu du courage de s’enfuir à l’âge de 13 ans.
    Et vous, de venir en France alors que vous ne saviez pas à quoi elle ressemblait.

    Vous êtes venue en 1949 à Amiens logée par des Camerounais. Je trouve ça bien, car vous avez pu retrouver un peu vos marques.
    Vous êtes venue en France pour pouvoir poursuivre vos études, ça montre à quel point vous êtes motivée.
    Alors que nous, nous avons tout et pratiquement personne pour nous motiver. On ne sait pas la chance que l’on a d’être à l’école.

    Mais vous, vous aviez prévu de rester pendant 4 ans et cela vous a permis de rencontrer votre mari.
    Mais tout a changé quand votre famille vous a dit que c’était mieux pour vous de rester en France.
    Est-ce que cela vous a fait mal de savoir que vous alliez rester et donc ne pas rentrer ? Votre famille a dit cela pour vous, pour votre bien et là encore votre mère a eu du courage, en plus, vous êtes une famille nombreuse comme la mienne.
    Je tenais à vous remercier d’avoir pu vous déplacer pour nous.

    Je suis de tout cœur avec vous pour votre association " l’un et l’autre"

    Bahya S.

  • Madame KALLA,

    Votre parcours et votre histoire m’ont beaucoup interessée et m’ont beaucoup plue.

    J’ai été assez étonnée quand vous nous racontiez que l’espérance de vie au Cameroun était seulement de 65 ans.

    J’ai aussi été surprise quand vous nous avez dit que votre père venait de Douala et votre mère de Yabassi car ils ne parlaient pas la même langue, alors que ces villages sont proches.

    J’ai été déçue pour votre mère quand j’ai su qu’elle n’avait jamais été scolarisée et qu’elle ne savait ni lire et ni écrire, cela m’a fait comprendre la chance que l’on avait de pouvoir aller à l’école.

    J’ai été contente pour vous quand vous nous avez expliqué que votre mère et votre père avaient eu 8 enfants dont vous et cela pour moi est important car j’aurais aimé avoir autant de soeurs et de frères comme vous.

    J’ai aussi apprécié quand vous nous avez raconté que vous participiez aux tâches ménagéres et que vous aidiez vos fréres et soeurs à faire leurs devoirs, ce qui est très généreux de votre part.

    Votre mère a vraiment été courageuse de travailler de 6H00 à 18H00 car cela ne devait pas être facile surtout que vous deviez aller chercher de l’eau potable, aujourd’hui nous ne voyons pas la chance que nous avons d’avoir de l’eau potable qui sort du robinet car cela est habituel pour nous.

    Quand vous nous avez dit qu’il y avait qu’une seule université pour tout le Cameroun, j’ai compris tout de suite que cela devait être très dur pour y entrer car il devait sélectionner et ne garder que les meilleurs.

    De plus, je tiens à vous dire que vous avez été vraiment très courageuse de laissee votre enfant à votre mère pendant 1 an pour aller en France refaire vos études. Moi je pence que je n’aurais jamais réussi à faire ce que vous avez fait.

    Vous m’avez fait beaucoup sourire quand vous nous disiez qu’une fois arrivée en France, vous n’aviez aucun vêtement pour le froid !

    Pour terminer, j’ai été très heureuse pour vous de savoir que malgré tout ce que vous avez vécu que vous vous en êtes très bien sortie : vous vivez depuis 20 ans avec votre mari. Vous estimez avoir 2 pays, vous avez choisi la nationalité française. Vous avez créé une association à Amiens qui s’appelle "L’un et L’autre" et que vous avez du travail aujourd’hui car vous êtes médiatrice administrative.

    Merci d’être venue pour nous raconter votre parcours.

    Laëtitia P.

  • Chère Madame KALLA

    Aprés avoir écouté votre"biographie"le jeudi 12 Mai 2011,

    j’ai retenu que dans la vie quelque soient les conditions ou difficultés que l’on peut rencontrer , il faut se battre , chose que moi-même je fais un petit peu tous les jours pour mon avenir.

    Quoi qu’il en soit , je trouve ça bien qu’en partant de rien , vous ayez réussi à construire votre vie .

    Vous nous avez dit un peu que la vie au Cameroun , n’était pas simple tous les jours.
    On ne peut pas trop s’imaginer car , j’ai de la chance de ne pas connaître la misère et avoir à peu près tout ce que je veux. Pour un enfant , je sais que c’est terrible de voir ses amis avoir le nouveau jouet à la mode et que lui ne l’a pas , je pense que cela ne devait pas être facile aussi.

    Je suis comme vous , la plus grande de la famille , sauf que je suis l’aînée.

    Ce n’est pas facile parce que même si on a tout , on se dit tout le temps, pourquoi lui ou elle ne fait rien et que c’est moi qui doit tout faire ! , Pourquoi c’est moi qui prend pour mes frères ou mes soeurs !.

    On a même parfois l’impression que tu testes tout pour les autres et eux , les plus jeunes arrivent tranquillement sans les batôns dans les roues car les parents ont vu avec ton expérience les erreurs à ne pas commettre avec eux.

    Ma mère nous donne queque tâches ménagères à faire , mais j’avoue que la plupart du temps je n’aide pas beaucoup.

    Je trouve cela dommage que votre mère ne voulait pas que vous sortiez à des fêtes , quand on est jeune , on adore s’amuser.
    C’est les seuls moments où l’on peut s’amuser et faire plein de bétises , sans que les parents te surveillent.
    Mais comme je le dis , "C’est la vie !" .

    Pour finir cette lettre , je vous souhaite une bonne continuation et à bientôt.

    Estelle E., TproA1, Lycée André Malraux , Montataire

  • Madame KALLA,

    J’ai été ravie de vous rencontrer et de vous connaître à travers votre histoire que vous avez paragée avec nous.

    Vous avez parlé de votre pays d’origine qui est le Cameroun et cela était très intéressant.
    Je ne connaissais pas beaucoup ce pays, mais grâce à vous j’en sais un peu plus.
    Grâce à votre intervention, je sais que les femmes n’étaient pas soumises moi je pensais le contraire.

    Lorsque vous avez dit que quand votre mère n’était pas là, c’est vous, qui vous occupiez de la maison, de vos frèreset soeurs cela m’a fait penser que j’avais de la chance, car quand ma mère n’est pas là, elle fait toujours en sorte que moi et ma soeur nous n’ayons rien à faire, donc on a un peu la belle vie, nous n’avons jamais rien à faire, elle s’occupe absolument de tout...
    Mais vous, en vous occupant de la maison, vous avez appris à cuisiner, à faire le ménage, alors que moi jusqu’à aujourd’hui, je ne sais toujours rien faire.

    Je voulais revenir sur les loisirs que vous aviez comme le cinéma, les surprises-parties...
    Votre mère ne voulait pas vous laisser y aller, donc vous disiez aller chez votre famille pour y aller, je dois vous avouer que ma mère réagit de la même manière que la vôtre, mais moi je n’ai pas essayé de sortir en disant que je vais aller chez ma famille, je devrais essayer...

    Pour conclure, votre histoire était très intéressante.
    Je serais heureuse de vous revoir.

    Je vous laisse sur ces mots avec l’espoir de vous revoir.

    Angèle R.

  • Madame Kalla,

    Je tiens tout d’abord à vous remercier de votre visite et à vous dire que vous êtes très courageuse de laisser votre pays.

    Votre histoire m’a vraiment touchée car ce n’est pas facile de naître dans une famille pauvre et d’en faire partie puis même aprés être mariée vous avez voulu aider votre famille et la nourrir en donnant de l’argent.

    Je pense que vous avez surtout beaucoup de chance de vous faire aider par votre cousine et des gens car malheuresement nous sommes arrivés dans une génération dans laquelle l’humanité n’existe plus.

    Nous avons beaucoup de chance d’être dans un pays comme la France car l’école est gratuite, c’est une chance d’avoir cela dans son pays mais vous, vous n’avez pas eu cette chance.
    donc vous avez bien fait de venir en France et d’avoir le courage de faire vos études, car vos parents n’ont pas eu cette chance.

    Je voulais vous parler aussi de la polygamie ce qui est interdit en France.

    Je ne sais pas comment vous avez fait pour accepter la polygamie car je n’ai jamais imaginé que mes parents auraient pu venir d’une famille comme celle-ci, de plus c’est une chose qui n’est pas autorisée dans ma religion sauf dans des cas exceptionnels.

    Ne pas être soumis aux hommes est très bien car nous avons le droit d’être indépendante et ceci doit être la fièrté d’une femme.

    vous pouvez être fière de vous juste en pensant que vous êtes indépendante.

    Il y a une chose que j’ai toujours voulu mais je ne l’ai pas, vous avez cette chose c’est le fait de parler plusieurs langues.

    Une chose est sûre "quand on veut on peut" ceci est votre message personnel pour moi. Même après avoir raté votre brevet vous n’avez pas baissé les bras et vous avez décidé de continuer.

    Je trouve que créer une association après que vous ayez obtenu votre titre de séjour est une très bonne chose car votre association se nomme "l’un et l’autre".
    Je pense que c’est une très bonne idée car vous pensez que ces gens là on besoin de vous et que vous les guidez pour qu’ils puissent sortir de leur difficultés.
    Littérairement et scolairement vous ne connaissiez pas la France ce qui ne vous a pas empêchée d’être forte en vous-même. Vous vous êtes dit que vous ne devez pas regarder derrière vous et vous devez avancer pour atteindre votre but.

    Zeineb G.

  • Bonjour Madame Kalla,

    J’ai beaucoup apprécié votre intervention bien que parfois j’avais un peu de mal à vous suivre.

    Je suis toujours surprise d’entendre qu’avant les femmes étaient mariées à 13-14 ans. Cela me choque beaucoup. Avant, ces enfants n’avaient pas d’enfance comme nous aujourd’hui. Comme votre mère qui a été mariée alors qu’elle n’aimait pas l’homme qu’elle a épousé. Vos parents avaient l’air très courageux, ils ont travaillé dur et pourtant vous nous avez dit qu’ils étaient pauvres. C’est vrai que la vie était difficile, je comprends très bien.

    Sinon, par rapport à ce que vous nous avez dit pour les enfants, c’est qu’ils allaient dans une école privée et que vous ne deviez pas parler votre langue maternelle à l’école. Cela devait être difficile de ne pas pouvoir être vous-même. C’est vrai que d’entendre cela m’a énormément choquée. Moi, aujourd’hui, je ne me verrais pas apprendre une autre langue que la mienne, cela me gênerait beaucoup.

    Vous êtes une femme très maligne, cela m’a fait rire quand vous nous avez dit que pour sortir vous avez dit que vous alliez voir votre grand-mère et ensuite que vous sortiez en fait avec vos amis... C’est vrai qu’aujourd’hui, ne pas pouvoir sortir avec ses amis est très dur car on a besoin de se changer les idées.

    En tout cas, j’espère que vous avez apprécié votre passage dans notre lycée. Dommage que vous n’ayez pas pu nous en dire plus sur vous. Je vous ai trouvée formidable.

    Je vous souhaite une bonne continuation pour la suite.

    Pauline H.

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