Politique des frontières.

""Je ne verrais pas Okinawa", Migration/expulsion.

Les Impressions Nouvelles éditions

"Cette fiche fait partie du répertoire de la bande dessinée migrante créé par Paroles d’Hommes et de Femmes. Ce répertoire est destiné aux enseignants, éducateurs, associations, collectivités qui souhaitent utiliser la BD ayant pour thèmes la migration, l’altérité, l’intégration, comme une source de lien social et d’action éducative"


Je ne verrais pas Okinawa

Auteur/dessinateur : Aurélia Aurita

éditeur : Les Impressions Nouvelles

Collection : For intérieur

2008

80 pages

Thématiques : Frontière, politique, migration.

L’histoire :

Chenda se rend pour la première fois au Japon en 2004. Immédiatement séduite par Frédéric et par le pays du Soleil levant, elle y voyage à plusieurs reprises. Si l’amour qu’elle porte à son nouvel amant est réciproque, il n’en est pas de même, hélas, avec son nouveau pays d’adoption. Procédurière jusqu’à l’absurde, l’administration transforme ses séjours en calvaire bureaucratique. Derrière les déboires de Chenda avec les services d’immigration nippons, c’est aussi une histoire plus globale qui se dessine. Le Japon n’est pas le seul pays à traiter ses étrangers avec méfiance et de manière arbitraire...

Source : www.lesimpressionsnouvelles.com

et pour plus d’informations sur l’auteur allez voir son site : www.aurita.net

Avis de Lionel :

Ce livre désenchante un peu le pays du manga tant rêvé par certains occidentaux car on y découvre un Japon ultra sécuritaire et un peu paranoïaque... écho cinglant de certains pays occidentaux... Cette BD permet d’aborder le thème des frontières et de la régulation de flux migratoire d’une manière humaine et critique. Le dessin de Aurélia Aurita est très expressif.